Le choix - Histoires de Sexe

Le choix

... date m’était complètement sortie de la tête.
— Ah, au fait tu as reçu ce soir une lettre du CMM.
— Quoi ? Que me veut le centre de morphologie mathématique… Oh merde ! Décidément, j’oublie tout, ces temps-ci. Ces trois jours de repos seront les bienvenus.

Inquiet, Marc saisit le courrier. Elle tremble imperceptiblement quand il commence à le lire. Son visage s’éclaircit.

— Tu as rendez-vous à mines Paritech mercredi, c’est bon.
— C’est bon, c’est bon, tu parles ! Je ne suis pas prête.
— Tu apportes ton portable… Je connais les travaux de dernière minute. Beaucoup de travail encore ?
— Non, journée, tout au plus… Juste de la mise en page et un peu de réflexion.
— Mais qu’est-ce qui te chagrine, alors ?
— C’est le fief de Meissner ; et tu le connais, il va encore me draguer. Je te jure, s’il recommence à me peloter les fesses, je lui colle une gifle. Et devant tout le monde !
— Il n’est pas méchant ; lourd, mais pas méchant… Et puis, moi ça me plaît que ma petite femme soit admirée par d’autres hommes.

Marie est éberluée par la dernière réplique ; elle reprend vicieusement la balle au bond.

— Donc cela ne t’ennuie pas qu’un gros lourd me pince les fesses.

Il hésite sur la réponse.

— Non, à partir du moment où je sais, et si en plus je peux assister…
— Et si cela allait plus loin ? Je ne sais pas, qu’il insère la main dans ma culotte.

Il sourit et l’enserre fortement.

— Il faut voir…

Elle ne s’attendait pas à cela. Elle ressent une bosse ...

... contre sa hanche.« Ce n’est pas vrai… Il commence à bander ! »

— Eh bien je te rappellerai un jour ce que tu m’as dit. À quelle heure commence la table ronde ?
— 10 heures, mais ils ont joint un billet de train et un logement pour deux jours dans un hôtel. Tu pars mardi soir à 18 heures de la Part-Dieu.

Elle se rend compte que la bosse dans son pantalon atteint toute sa plénitude. Elle pose sa main et masse doucement.

— Dis-moi… Ça t’a excité, mon cochon, d’imaginer une main dans ma culotte.

Il est rouge. Marie n’est pas aussi sadique, et elle n’est pas épargnée par la situation. Elle ferme la porte du vestibule et libère la virilité de son mari. Elle ne l’a jamais connue si grosse. Elle lèche le frein et le méat, tourne sur la couronne du gland. Il sent fort ; elle mouille. Il expire fortement quand le membre est englouti aux trois-quarts. La belle queue coulisse, et elle serre ses bourses dans sa main. Elle est étonnée par sa résistance… Elle relâche les testicules, et il coule à grand flots dans sa bouche. Elle aime son goût.

Toute la soirée, il sourit béatement.

Ce soir, elle veut lui plaire, peut-être un peu de culpabilité. Elle se déshabille lentement devant lui ; il apprécie. Totalement nue, elle laisse Marc se délecter de son corps. Il s’est amélioré : Marie vibre sous ses caresses, elle gémit sans triche sous la langue qui fouille son intimité, elle jouit en douceur, longuement, inondant son visage.

Marc s’est endormi dans ses bras. L’excitation est ...