1. Trois filles et leur mère


    Datte: 16/04/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou Auteur: luciole06, Source: xHamster

    ... De mes lèvres sur sa bouche, je l'empêchai de répondre. Mes taquineries étaient moins drôles que son jeu et je ne les avais prolongées que pour m'amuser plus longtemps à l'entendre. Je craignais qu'au premier contact elle ne cessât toute comédie mais l'amour du théâtre chez les jeune filles est presque aussi fort que le plaisir des sens et pendant quelques minutes Ricette put soutenir son rôle d'ingénue en cabinet particulier.
    
    "Voyez, monsieur, dit-elle, la différence qu'il y a entre le vice et la vertu. Les femmes éhontées qui dansent le nu ont un cache-sexe par-devant. Les pucelles tout habillées ont un petit losange qui se lève par-derrière. (Et elle rit de tout son cœur sur la dernière syllabe).
    
    - Je connais bien mal les secrets des jeunes filles et j'ai peur de ne pas...
    
    - Alors, monsieur, laissez-moi faire. Maman me l'a bien répété : "Si ton client est un con, tu sais t'y prendre ; encule-toi !"
    
    Elle riait de plus belle ; mais cette fois elle avait passé la mesure. Je n'aime pas ce genre de plaisanteries et l'on m'objecterait en vain qu'une vierge de quatorze ans a droit à quelque indulgence pendant qu'on la sodomise. Ricette reçut, pour le principe, les deux ou trois petites gifles qu'elle méritait. Et alors... (J'ai oublié d'écrire ce détail : la chambre était vaste. Teresa, Charlotte et Lili se groupaient au fond sur le divan. Nous jouions loin d'elles, comme au théâtre, et Mauricette pouvait me parler sans être entendue de l'assistance...) Elle cessa ...
    ... de rire, tourna la tête et me dit ardemment mais tout bas :
    
    "C'est ça que tu appelles des claques, Ta queue me fait plus de mal que ta main. Recommence.
    
    - Mais non !
    
    - Si. Écoute que je t'apprenne, tout bas. Rappelle-toi ce que tu as fait à maman sans le faire exprès. Prends-moi les poils, on n'y verra rien, tu auras l'air de me branler... Non, pas ces poils-là... plus bas... ceux des lèvres... oui… tire... tire-les... tire donc!... mais tire donc! je vais jouir…"
    
    Et elle m'empoigna la main pour me faire tirer comme si j'arrachais une poignée d'herbe. L'entracte ne dura qu'une minute. Pour nous donner un peu de repos, Lili en écolière aborda Charlotte en pierreuse et lui dit d'un air soupçonneux :
    
    "T'es donc encore malade ? la pine de ton frère avait un drôle de goût ce
    
    matin."
    
    Quand Charlotte avait ses nerfs, elle ne pouvait retenir ni sa gaieté ni ses larmes. Surprise par cette phrase imprévue, elle rit derrière sa main avant de répondre. Puis la scène commença, mais sur un autre ton que celui de Mauricette. Entre elle et ses deux sœurs, il y avait toute la distance du pensionnat à l'école primaire. Lili parvenait quelquefois d'un saut à franchir le pas; sa fantaisie et son instinct suffisaient à la conduire. Charlotte ne parlait que le langage du réalisme obscène et sentimental. Le rôle qu'elle acceptait, qu'elle avait même demandé, ne ressemblait guère aux types de Bruant. C'était celui de la fille lasse et lâche, qui a toutes les servilités, reçoit ...
«12...949596...110»