1. Trois filles et leur mère


    Datte: 16/04/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou Auteur: luciole06, Source: xHamster

    ... comprenais plus. Mais pendant que Charlotte sortait, lente et triste à son habitude, Ricette m'entraîna de toutes ses forces au fond de la chambre et me dit, la bouche en avant :
    
    "Ha ! qu'est-ce que maman m'a fourré dans le cul ? C'est du feu ! Je suis enragée ! Je vais faire ma toilette et je reviens pour toi, mais il faut, il faut ! il faut que tu m'encules! tu me dépucelleras plus tard. Je vais revenir avec Charlotte, nous ferons vite une scène, joue ton rôle, appelle-la putain et prends-moi. T'as compris ?"
    
    Singulière constatation : plus je les connaissais, moins je les comprenais, cette femme et ses trois filles. Restée seule avec moi, Teresa vint me parler. Je crus qu'elle allait m'expliquer mon rôle, mais elle avait bien autre chose en tête.
    
    "Lili a raison, dit-elle. Jouir dans la bouche de Mauricette, c'est plus épatant que de la dépuceler. Quel foutre est-ce que tu as pour qu'elle l'avale si bien ?"
    
    Du corps et des lèvres, Teresa devenait plus pressante encore que de la voix et, comme elle était loin de refroidir mes sens, je répondis en l'embrassant :
    
    "Demande à tes filles. Elles en ont bu toutes les trois.
    
    - Quelle bouche aimes-tu le mieux ?
    
    - La tienne."
    
    Et je ne mentais pas. Je la préférais d'avance comme si je l'avais éprouvée. Teresa pourtant eut un sursaut a cette réponse. Je craignais à tout instant de voir la porte s'ouvrir, et, surtout pour ne pas continuer sur ce ton, mais aussi pour l'interroger en quelques mots, je lui dis ...
    ... rapidement :
    
    "Qu'est-ce qui va se passer ? Qu'est-ce qu'elles font ?
    
    - Je m'en fous !" dit Teresa en me donnant ses lèvres.
    
    Cela tournait court. Je la ramenai au sujet d'un ton suppliant. Après une minute de silence où je craignais tout le temps un de ces crescendos que j'ai plusieurs fois décrits déjà, elle retint sa voix au contraire et me répondit, mais de si près que j'avais ses cheveux sur le visage :
    
    "Ce n'est qu'un jeu. Ça lui fait plaisir. Elle aime ce rôle-là. Tu la connais bien.
    
    - Qui ?
    
    - Ma Charlotte, fit-elle tendrement. Je ne vois pas ce qu'elles font toutes les deux, mais je le sais. Charlotte se costume en fille de trottoir et Mauricette en autre chose. Elles sont aussi gosses l'une que l'autre. Elles font des comédies même quand elles sont toutes seules, et puisque tu es là, joue avec elles, quoi ?"
    
    Puis, se montant, elle ajouta :
    
    "Je les ai assez foutues à poil dans ton lit, mes filles ! Si tu ne connais pas leurs caractères ! Si tu ne sais pas ce qu'il faut leur dire …
    
    Mais elles rentraient, toutes les trois, dans de singuliers accoutrements.
    
    CHAPITRE XIV
    
    La première que j'aperçus fut Mauricette. Elle portait un costume collant d'arlequin, le même sans doute que Charlotte avait eu à son âge et dont elle m'avait longuement parlé à propos de la fameuse gageure. Charlotte, qui la suivait, me frappa d'abord par son visage. Elle semblait ravie de "jouer le rôle" au double sens de l'expression, après avoir senti plus que moi peut-être ...
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