Trois filles et leur mère
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: luciole06, Source: xHamster
... pus me retirer sans avoir perdu ce qui était nécessaire à la seconde partie du programme. Cela est assez curieux : cette seconde partie intéressa tout le monde plus que moi et mit les quatre femmes dans un état d'excitation que je ne pus atteindre, moi qui étais pourtant le mieux partagé. Charlotte et Lili se pressaient pour voir, parlaient sans cesse et devenaient bien importunes. Mauricette, pourpre et agitée, s'essuyait le visage que sa mère avait trempé, mais non pas de ses larmes. Elle était doublement émue, étant deux fois débutante par l'acte qu'elle allait tenter de réussir et par le spectacle qu'elle en donnait.
"J'ai le trac et j'ai envie de jouir, dit-elle, j'ai peur de rater.
- Au contraire, dit Teresa ; plus tu auras envie de jouir et mieux tu réussiras. Pour te regarder je ne peux pas te faire minette ; mais veux-tu que je te branle ?
- Oui, maman.
- Et, si tu veux m'en croire, laisse-toi foutre en chaleur, petite sauvagesse, avec un peu de moutarde par le trou du cul.
- Oh ! fit Ricette en levant les yeux au ciel. Je serai folle... Alors ne me branle pas... Touche-moi seulement... Ne me fais pas jouir avant lui surtout !... Tu me branleras quand je te ferai signe…"
Elle tourna sur elle-même et, pendant que sa mère quittait la pièce, elle se jeta tendrement dans les bras de sa sœur aînée avec un : Oh ! Charlotte ! Charlotte !" qui semblait lui demander toute son indulgence et son encouragement. Tout cela et le reste, Charlotte l'eût donné ...
... pour rien ; mais Ricette voulut le mériter. Après un baiser langue à langue, elle lui dit :
"Ma Charlotte ! un petit peu de ton foutre à toi aussi !"
Et, jetant sa sœur sur le divan, elle lui fourra les lèvres entre les cuisses.
"Ben vrai! dit Lili. Quand tu auras tous ces foutres-là dans la bouche, ça finira par faire un gosse !"
Mais cette fois je fus seul à rire. Teresa qui rentrait et ses deux autres filles étaient beaucoup trop excitées pour changer de visage. Et ce qu'avait accepté Mauricette fut réellement accompli. Elle-même, debout, se pencha en avant, creusa les reins, ouvrit les fesses et se laissa faire ce que font avant les courses les éleveurs aux taureaux de combat. Je ne sais quelle moutarde poivrée Teresa lui mit dans l'anus, mais Ricette en eut de violentes secousses et, touchant du doigt ce qui la brûlait, se passant l'autre main sur le front, elle gémit :
"Pourquoi m'as-tu fait ça ? maintenant j'ai envie qu'il m'encule !
- Pas avec de la moutarde ! fit Teresa.
- Alors, toi ! ou Charlotte ! un godemiché au moins.
Ah! que j'ai peur de jouir!
- Mais suce-le donc tout de suite ! qu'est-ce que tu attends ?"
Mauricette se précipita et, sur le point de commencer, me dit de sa voix la plus ardente :
"Tu m'enculeras tout de même, dis, cette nuit ? avant de me dépuceler... j'enlèverai la moutarde, tu ne sentiras rien... Ah ! mais c'est du feu qu'elle m'a mis dans le cul ! Ah! que j'ai envie d'une queue par là !… Qu'est-ce qu'on me fait ...