1. Trois filles et leur mère


    Datte: 16/04/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou Auteur: luciole06, Source: xHamster

    ... dans ma vie entière ! déclara Teresa.
    
    La dernière nuit où ça m'est arrivé, c'était quand, Charlotte? C'était l'autre été, au mois de juin ? Ah ! tu peux le dire, fit-elle en se tournant vers moi ! Je suis presque aussi pucelle que Mauricette. Charlotte est comme moi. Il n'y a que Lili qui baise dans la maison.
    
    - Maman, maman, maman dit Ricette impatiente. Est-ce que nous commençons ?"
    
    Le consentement qu'elle obtint ne suspendit ni ses pensées ni ses paroles. Elle semblait soucieuse. Elle ne se couchait pas. Abandonnant l'arithmétique pour s'attacher à un curieux problème d'érotologie, elle regarda sérieusement sa mère et dit :
    
    "Pouvons-nous ?... Je ne suis pas fâchée de savoir si c'est possible, mon programme... Faire minette sous une femme qu'on encule, ça n'est déjà pas commode ; mais sous une femme qui baise... surtout si on la dépucelle… Jamais ta langue ne me touchera le bouton.
    
    - Je ne l'ai jamais fait, dit Charlotte ; mais on baise si peu ici...
    
    - Moi, je le ferais ! dit Lili.
    
    - Oh ! toi, tu es disloquée."
    
    Teresa prit un temps, comme une institutrice qui cherche une formule d'enseignement accessible au cerveau d'une adolescente, et répondit sans se hâter :
    
    "Combien de fois t'ai-je dit que les positions, c'est l'affaire des femmes, ça ne regarde ni les hommes ni les gousses. Alors, dans la posture que nous allons prendre, c'est à la femme de dessus à se placer comme il faut. Ce n'est pas la langue de dessous qui pourra lui chercher le bouton ...
    ... si elle creuse le ventre et si elle fait le gros dos.
    
    - Crois-tu que je saurai ce que je fiche, à ce moment-là !
    
    - Allons ! Allons ! regarde d'abord comment je m'y prends et quand ce sera
    
    ton tour je saurai bien te guider."
    
    L'obscénité avec laquelle Teresa ouvrait sa croupe en levrette m'était déjà bien connue. Levrette est vraiment trop peu dire. Le mot d'ourse conviendrait mieux. Elle n'était que poils par-derrière. Comme elle avait les fesses très très belles et les cuisses fort bien dessinées, on n'osait lui faire mentalement le reproche d'être plus velue qu'une autre femme, et, n'eût été l'impudence de sa posture, on se serait figuré que plutôt elle imposait son esthétique. Malgré la réserve et la modestie de mes exercices amoureux comme de mon langage mes scrupules de moralistes ne vont pas jusqu'à m'interdire de baiser une mère sur sa fille et de déflorer ensuite la fille sur la mère. Je ne l'ai fait qu'une fois, mais je le recommencerai volontiers si l'occasion s'en présente. Parlerai-je pour un instant à la jeune fille qui tient ce livre et lui dirai-je comme eût dit Mauricette :
    
    "Je ne vous choque pas, mademoiselle ! Si votre mère a trente-six ans, si elle est belle, si vous l'aimez assez pour lui faire ce que vous faites à vos petites amies, vous comprendrez la scène suivante... Et si vous êtes une ingrate, si vous n'avez jamais donné du bout de la langue un frisson de plaisir aux chairs qui souffrirent tant pour vous mettre au monde, rougissez de ...
«12...868788...110»