Trois filles et leur mère
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: luciole06, Source: xHamster
... disant : "II m'a empoigné les poils et il m'a fait si mal que j'ai failli décharger."
- Si tu crois que je l'ai fait exprès !
- Et qu'elle m'a dit ce matin qu'elle avait réussi à se faire battre et que c'était plus difficile que de...
- Oh ! les coups de poing sur l'épaule et la flagellation, ça n'a aucun rapport.
- Pour toi ! dis pour toi ! mais pas pour maman. Comment, tu as couché trois fois avec elle et tu ne sais pas ce qu'elle aime ?
- Ses filles.
- Tu ne crois pas si bien dire ! II lui faut une de ses filles sous elle quand on la fouette. Mais alors on peut tout lui faire. C'est effrayant. Elle crie, elle jouit, j'ai du sang dans les cheveux, du foutre sur la figure…"
Mauricette, échevelée, s'interrompit, agita la tête et se jeta sur moi :
"Si c'est vrai que tu m'aimes, si c'est vrai, je prendrai sa place, je me mettrai sur elle et tu m'enculeras dans mon sang pendant que maman me fera minette ! A son tour elle aura mon sang dans les cheveux et mon foutre sur la figure pendant que j'aurai ta queue, moi, ta queue dans le derrière…"
Je n'avais jamais vu Ricette aussi exaltée et je la croyais au paroxysme quand cette exaltation grandit encore devant la découverte d'une nouvelle infamie.
"Non! dit-elle. Tu me dépucelleras en levrette sur la figure de maman !"
Et elle avait dit cela d'un ton ! mais d'un tel ton que j'appris d'elle en cet instant ce que c'est que de recevoir un ordre. Elle continua d'une voix brève et chaude.
"Tu ...
... aimerais mieux me baiser que de m'enculer, je le sais. Moi, j'ai envie que tu m'encules et que je me branle et que tu me fasses mal, mais, puisque tu aimes baiser, tu me baiseras. J'ai compris mieux que toi pourquoi tu n'as pas voulu : c'est que tu n'achètes pas les pucelages et que le mien est à vendre et que tu ne veux pas le voler ? Eh bien, non ! mon pucelage n'est pas à vendre. Je dirai ce soir à maman que je le donne et qu'elle verra bien à qui puisqu'elle aura la bouche dessous."
Secouant sa tête et ses cheveux, elle sourit, et elle eut alors une explosion de sincérité qui me révéla ce que je ne soupçonnais pas :
"Tu crois qu'elle nous dira non ? Ha ! elle sera trop contente, la vache ! Quand je lui dirai que tu vas me dépuceler sur elle, qu'elle me verra bien saigner, qu'elle n'en perdra pas une goutte, qu'elle aura la gueule pleine de foutre et de sang, mais elle va se branler pendant quatorze heures... Je t'ai dit que je l'aimais bien ? oui, j'aime sa langue, son doigt, son corps, elle excite mon tempérament de miché. Et je t'ai dit que ce n'était pas une putain, elle non plus ! Non : mais c'est une garce."
Le déchaînement de Mauricette m'étonna peut-être moins que n'avait fait celui de Charlotte. D'abord c'était pour moi une répétition de changement à vue, comme il l'est pour vous. Les Mémoires sont plus monotones que les romans ; il faut leur pardonner les erreurs de métier que la vie commet et qui nous désolent, parce que nous saurions si bien, d'un trait de ...