Trois filles et leur mère
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: luciole06, Source: xHamster
... putains, les jeunes filles, les vieux, les singes, les nègres, les chiens, les godemichés, les aubergines...
- Et quoi encore ?
- Tout le reste. Elles font tout. Veux-tu maman ? Elle s'appelle Teresa ; elle est italienne ; elle a trente-six ans. Je te la donne. Je suis gentille. Veux-tu mes sœurs aussi ? Nous ne sommes pas jalouses. Mais garde ma boucle et tu me reviendras.
- Ricette! Crois-tu que je pense à...
- Turlututu ! On nous prend toutes les quatre ; mais on me revient. Je sais ce que je dis quand je ne me branle plus."
Après un nouveau rire de jeunesse elle saisit ma main, roula jusqu'à moi et reprit aussi sérieusement que possible :
"Jusqu'à treize ans je suis restée en pension avec des jeunes filles du monde. Puisque tu sais tant de choses, dis ce que c'est que les directrices et les sous-maîtresses qui ont la vocation de vivre leur putain de vie dans un bordel de pensionnaires.
- Un peu gousses ?
- Je n'osais pas le dire, fit Mauricette avec une ironie charmante. Et comme elles devaient avoir des renseignements sur ma mère, tu penses qu'avec moi elles ne se gênaient pas.
- Les infâmes créatures ! Elles ont abusé de ta candeur ? Elles t'ont fait
boire de force le poison du vice ?
- De force ! Elles m'ont pervertie ! fit Mauricette qui plaisantait et prenait de l'assurance. Quatre fois elles m'ont surprise en train de branler mes petites amies...
- Ah ! tu...
- Elles se cachaient dans le jardin, dans le dortoir, dans les ...
... corridors et jusqu'à la fenêtre des cabinets pour faire les voyeuses! Crois-tu que c'est vicieux, une sous-maîtresse !
- Elles payaient pour ça ?
- Un mauvais point. Et pourtant ! Qu'est-ce qu'on leur montrait sans le vouloir ! Des combinaisons épatantes qu'elles n'auraient jamais trouvées toutes seules !... Enfin, je suis devenue l'amie d'une grande qui m'a enseigné en dix leçons le saphisme tel qu'on le parle...
- Ça veut dire ?
- L'art de faire mimi doucement au point sensible. L'art de ne pas s'écorcher le petit bout de la langue n'importe où. C'est ce que je savais le mieux quand je suis sortie de pension ; beaucoup mieux que l'Histoire sainte et la géographie. Mais, avec ma grande amie, on se retrouvait dans tous les coins ; et, la cent vingt- cinquième fois, je me suis fait pincer par Mlle Paule.
- Laquelle t'a pervertie un quart d'heure après ?
- Oui. Dans ma chambre, sous sa jupe. Avec un pantalon fermé qui avait des boutons partout. Et un joli petit chat, la cochonne ! Les poils, le pucelage, le bouton, les lèvres, tout me plaisait. J'aimais mieux faire minette à elle qu'à mon amie. Crois-tu que c'est vicieux, une sous- maîtresse !
- Sardanapalesque. Et tu ne dis pas tout.
- Non. J'oubliais quelque chose. Elle ne savait pas même faire minette. C'est moi qui lui ai appris."
Ici, Mauricette fut prise d'un fou rire qui la renversa presque à bas du lit, et elle mit tant de grâce à perdre l'équilibre que j'eus hâte d'achever l'intermède. J'étais ...