1. Trois filles et leur mère


    Datte: 16/04/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou Auteur: luciole06, Source: xHamster

    ... foutre ! le voilà, mon foutre ! et barbouille-toi la gueule dedans, sale garce ! Vache ! Cochonne ! Salope ! Chameau ! Putain !"
    
    Charlotte, ivre de ce qu'elle buvait, "se barbouilla la gueule dedans", selon la forte expression de sa mère, et ce qui suivit fut si rapide, et j'étais moi-même tellement égaré, que je ne pus rien empêcher avant de reprendre mes sens. Je voudrais avoir mal vu, mal entendu. Cela m'apparut comme une hallucination. Après avoir perdu conscience, je rouvris les yeux et je vis d'abord Charlotte accroupie, tenant à la main... je n'ose plus terminer les phrases… Elle était triomphante ; elle était enragée ; elle criait à sa mère :
    
    "Tu la vois ! tu la vois !"
    
    Et elle lécha ce qu'elle tenait ; je me souviens qu'elle le lécha de toute la longueur de sa langue avant de le sucer. Puis elle cria plus fort en agitant ses cheveux :
    
    "Son foutre, maman ! son foutre que tu as dans le cul ! Chie-le-moi dans la bouche devant lui pendant que je me branle et qu'il m'appelle salope quand je déchargerai !
    
    - Devant lui ? fit Teresa.
    
    - Oui ! Oui ! devant lui ! plein ma bouche !" dit Charlotte, les yeux hagards.
    
    Une folle par amour est le personnage le plus tragique dont je puisse concevoir la vision. Quel est l'homme assez grossier pour ne pas frémir en lisant les chansons obscènes d'Ophélie ? Et quel autre homme ou quelle femme ne comprendrait pourquoi, au milieu de la scène suivante, en passant devant une glace je me vis blanc comme un linceul ? ...
    ... J'essaye de rassembler mes souvenirs…
    
    Teresa était plus inquiète de moi que de sa fille et, sans rien entendre à mes sentiments, elle me dit à voix basse :
    
    - "Allons, quoi ? t'as jamais vu ça ?... Eh bien ! maintenant tu diras que tu l'as vu... Non ? tu n'y tiens pas ? tu viens de jouir ?... Mais c'est pour elle, voyons ! et si elle te dégoûte, dis-le-lui, tu l'exciteras."
    
    L'exciter! Mais elle était en pleine démence ! Debout, Charlotte s'était enfoncé le godemiché dans le derrière et elle l'agitait de la main gauche en se branlant de la droite par-devant, les cuisses écartées, le ventre en mouvement... comme une jeune fille aliénée se masturbe devant le visiteur inconnu qui ouvre la porte de son cabanon ; c'est-à-dire qu'elle se branlait directement vers moi, avec une expression mélangée d'impudence et de douleur.
    
    J'avais vu à quinze ans... Je raconte cela pour retarder un peu la fin de cette horrible scène qui m'est pénible à écrire... J'avais vu, dans un jardin, une jeune fille se branler vers moi dans la même posture, mais gaiement et par moquerie, et je ne savais pas que c'est le geste des folles. Je ne sais maintenant.
    
    Charlotte, toujours debout et le doigt sous le ventre, ne disait plus que des ordures, d'une voix saccadée. Je les passe. Elle termina ainsi :
    
    - "Depuis deux heures j'en ai envie... Il ne veut pas... Ma bouche le dégoûte… Montre-lui, maman... Comme je m'y prendrais sous lui... Comme je sais bien… sans faire de taches…"
    
    Lorsque j'entendis ...
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