Trois filles et leur mère
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: luciole06, Source: xHamster
... tramway !" Et depuis une heure que je te demande de me traiter comme une salope, tu ne peux pas.
- Non, mademoiselle. Continuez l'histoire de vos dévotions dans cette église de campagne. Vos cheveux noirs sont les plus longs et les plus beaux du monde. Vous avez l'air d'une Madeleine.
- C'est la première fois que tu m'appelles putain !" fit-elle en riant.
Mais je la ramenai à son récit,
"Donc, vous entrez tous deux avec les clefs de l'église. Je pense que vous fermez la porte à l'intérieur ?
- Oui. Et nous avons fait ensuite toute une scène, tant nous étions gais. Je me suis agenouillée dans la chapelle de la Vierge. Il est venu à moi : "Vous priez, mademoiselle ?
- Non, monsieur, je me branle.
- Et pourquoi vous branlez-vous ?
- Parce que mon bouton me démange et autre chose itou que je n'ose vous dire.
- Pourquoi tout cela vous démange-t-il ?
- Parce que je ne peux pas me mettre à genoux sans avoir envie qu'on m'encule." J'étais gosse ! on m'aurait fait jouer du matin au soir. Il s'est mis derrière moi ; mais les prie-Dieu d'église sont mal compris pour enculer les petites filles.
- Tu as des mots, Charlotte.
- J'avais le trou du cul trop bas. Je me suis mise alors sur une marche de l'autel où je me trouvais juste à la hauteur.
- Les marches d'autel sont mieux comprises pour enculer les petites filles?
- Oh ! on dirait qu'elles sont faites pour ça ! Nous étions si bien en place qu'aussitôt enculée j'ai eu envie de jouir, et j'ai ...
... tant déchargé, mais tant ! que j'ai remercié la Sainte Vierge, croyant que je lui devais mon plaisir. Après ça, qu'est-ce que j'allais faire du foutre que j'avais dans le cul ? Il n'y a pas de bidets dans les églises et les bénitiers sont trop hauts. C'est mal placé, vraiment, ces cuvettes-là. En soulevant au hasard le couvercle d'un prie-Dieu, j'ai trouvé un mouchoir neuf, qu'une vieille dévote avait mis là pour pleurer ses péchés le dimanche suivant. Au lieu de larmes, il a reçu mon foutre, son mouchoir et je me suis proprement torché le derrière avec. Aimerais-tu ça, de m'enculer dans une église, toi? Je recommencerai si tu veux."
Charlotte s'agitait. Elle remuait les jambes et devenait très rouge. La brutalité de ses deux dernières phrases me fit comprendre qu'une nouvelle crise était proche. Le ton de son récit changea brusquement, comme son visage. Âpre, douloureuse, un peu haletante, elle reprit.
"Crois-tu que cela ne m'arrivait pas souvent de jouir pendant qu'on me fourrait une queue dans le derrière ? Tous les jours ; même avec les vieux. Et c'est grâce à maman, à elle toute seule. Pour mieux m'entraîner, elle s'est mise à faire du chiqué devant moi. Je m'y laissais prendre comme les hommes et je faisais comme elle mais de tout mon cœur. A treize, à quatorze ans déjà, je pouvais jouir par le cul, sans me toucher. Et plus on me limait, plus j'avais de plaisir. A quinze ans, j'étais toujours pucelle. Maman continuait de me raser la motte et le con, mais elle ...