1. Trois filles et leur mère


    Datte: 16/04/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou Auteur: luciole06, Source: xHamster

    ... pense. Je n'ai pas le droit de les traiter de cochons, de vaches et de bandits, tous ces gens. Ils ne m'ont pas violée... Ce que je voudrais te faire comprendre... c'est que plus on est putain et plus on est vierge."
    
    Cette fois, je lui pris le visage dans mes mains, et les yeux sur les yeux je lui répondis :
    
    "C'est le plus beau mot que tu pouvais me dire."
    
    Qui ne le penserait ? Et ce mot-là, c'était Charlotte, corps et âme. Ses bons yeux me regardèrent sans rien pénétrer de ma pensée intime :
    
    "Pourquoi me fais-tu des compliments sur tout ? Mes cheveux, mes yeux, mes seins, mes poils... Ça ne vaut pas cent sous, mon chéri. Va au bordel, tu trouveras mieux. Mes fesses... tu as fait le bonheur de ma nuit quand tu m'as dit que j'avais de jolies fesses ; c'est évidemment ce que j'ai de mieux. Mais ne te fous pas de Charlotte ; n'admire pas les mots qu'elle dit… Les mots qu'elle dit, ce sont les sentiments qu'elle éprouve. C'est aussi que les putains parlent avec leur cœur, comme les jeunes filles du monde parlent avec leur con."
    
    La phrase était dite sans effet, comme une vérité bien connue ; mais je ne répondis rien ; j'étais humilié. Charlotte se croyait sans aucun esprit et chacune de ses répliques était plus intéressante que les miennes. J'avais plus de plaisir à l'écouter qu'à l'interrompre, et j'attendais la suite de son récit, quand elle s'écria, stupéfaite :
    
    "Comment, tu bandes encore ?
    
    - C'est de ta faute.
    
    - Qu'est-ce que j'ai fait pour ça ?
    
    - Tu ...
    ... m'as montré ces cheveux, ces yeux, ces seins, qui ne valent pas cent sous, dis-tu. On trouve mieux au bordel, n'est-ce pas ?
    
    - Et c'est moi qui te fais bander, sans que je te touche?
    
    - Je le crains. Je m'en plaindrai à ta mère.
    
    - Et qu'est-ce que tu veux que nous...
    
    - Je ne veux rien.
    
    - Tu plaisantes ! mais cela me donne envie !
    
    - Prends patience. Fais comme moi. Je ne suis pas pressé.
    
    - Alors, moi toute seule, laisse-moi faire, laisse-moi.
    
    - Non, mademoiselle, je vous défends de vous livrer à l'onanisme sur mon lit. Les moralistes et les médecins...
    
    - Je les emmerde. Je mouille, j'ai envie de me branler et quand j'ai…
    
    - Et quand tu as envie de te branler, tu te branles. Je connais la phrase. Eh bien ! tu ne te branleras pas jusqu'à trois heures du matin.
    
    - Près d'un jeune homme qui bande entre mes cuisses et jusqu'au milieu de mon cul ? Tu ne veux pas que ça m'excite ?
    
    - Au contraire, je le veux. Ton récit n'en sera que plus animé."
    
    "Ne me défie pas, dit-elle. Je suis toujours lasse et molle parce que je me fais jouir autant de fois que l'envie m'en prend, tu ne me reconnaîtras plus si tu me forces d'attendre, je vais te dire des saloperies idiotes, que je regretterai. Es-tu méchant de m'exciter jusque-là !"
    
    Une main sur les yeux, l'autre à mon épaule, elle geignit et répéta :
    
    - "Oui, des saloperies ! c'est tout ce que je peux te dire, à cheval sur une queue aussi raide et pendant que tu me tiens les bras. Et puis, je m'en fous ! ...
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