1. Trois filles et leur mère


    Datte: 16/04/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou Auteur: luciole06, Source: xHamster

    ... Maman disait que dans ces conditions-là ce n'était pas la peine de faire ma première communion ; mais il a donné cent francs et alors.. Et ce n'était que le commencement. Quelle journée ! Je peux dire que c'est mon vrai début ! Tous mes amants voulaient m'avoir sous ma robe de communiante et ils voulaient tous m'enculer ! II en est venu douze, vois-tu ça ? Ce jour-là, nous n'avons dîné qu'à neuf heures du soir. J'avais été enculée cinq fois ! cinq fois ! et j'avais sucé quatre hommes ! et les trois autres avaient déchargé je ne sais pas comment, mais ma belle robe blanche était pleine de foutre comme la jupe d'une pierreuse. Ah! je m'en souviendrai de ma première communion !"
    
    Charlotte hocha la tête avec un sourire consolé. Sa tristesse avait disparu. Elle parlait avec entrain et, comme les jeunes filles qui ne savent pas conter, elle gâta l'effet suivant en essayant de le préparer, mais cela ne fit que souligner l'ingénuité de son récit.
    
    "Tu ne t'attends guère à ce que je vais te dire, maintenant, mais vraiment j'ai tout vu dans ma putain de vie! Un an plus tard, je me suis fait foutre de moi par cinq gamines parce que j'étais pucelle !"
    
    J'avoue en effet qu'au point où nous en sommes du récit de Charlotte, si j'attendais un coup de théâtre, ce n'était pas celui-là.
    
    "Je t'ai promis, dit-elle, l'Histoire de tous les poils de mon cul. Elle ne fait que commencer. J'avais douze ans et il y avait quatre ans que j'étais putain, quand mes poils se sont mis à pousser. Ah ...
    ... ! ça n'a pas été long ! Au bout de six mois, J'étais poilue comme une femme. Tu commences à me connaître un peu. Je n'ai jamais été une de ces jeunes filles passionnées qui vous prennent la main en disant : "Je bande !… Non, je ne bande pas, mais je mouille pour rien. Quand je mouille, j'ai envie de me branler. Et quand j'ai envie de me branler, je me branle."
    
    Elle rit en se renversant. Sa bonne humeur la transformait.
    
    "Donc, c'est à douze ans que j'ai pris l'habitude de me branler autant que je pisse, et maintenant ce n'est pas assez dire, car, aujourd'hui, par exemple, je ne pisse pas si souvent que je me fais décharger. Maman m'a conseillé de me branler toujours quand on m'enculerait, évidemment, mais elle était contente de voir que je me branlais même devant elle, et, comme je m'y prenais mal, elle a eu la patience de me l'apprendre elle-même, d'abord avec son doigt et puis avec le mien. Faut-il que je sois gourde tout de même! Quand je pense que je n'aurais même pas su me branler toute seule si maman n'avait pas tenu ma main dans la sienne ! En ce temps-là, j'allais toujours à l'école et nous habitions un quartier de Marseille, où il n'y avait guère de putains, mais encore moins de pucelles. Je crois que toutes les gamines de l'école baisaient : les unes avec leurs frères, les autres avec leurs pères, leurs cousins, leurs voisins. J'en connaissais une qui avait dix ans et qui se vantait de tirer plus de six coups tous les soirs, en levrette, contre une palissade, ...
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