1. Trois filles et leur mère


    Datte: 16/04/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou Auteur: luciole06, Source: xHamster

    ... Charlotte. Nous nous étions unis comme elle le souhaitait et elle mettait toute sa grâce à faire que ce pis-aller me fût agréable. Un baiser profond nous fit taire ; puis, me regardant par-dessus l'épaule avec un long sourire des yeux qui était presque maternel quoiqu'elle eût le même âge que moi, elle me dit (mais sur un ton!) avec la miséricorde, la patience, l'attendrissement qu'une professionnelle peut incliner sur un apprenti :
    
    «Tu as des vices, mon chéri ? Tu as des manies ? Dis-moi tout ! tu sais bien que tu peux tout me demander. Tu ne dis rien ? tu as honte ? il faut que ce soit moi...?"
    
    Je ne disais rien parce que mon seul vice était de baiser et que je désespérais de le lui faire comprendre. Charlotte, qui était la meilleure fille du monde, se méprit sur mon silence. Cherchant toujours mon regard de ses yeux allongés qui semblaient m'accorder d'avance le pardon des pires tyrannies, elle me dit tranquillement, sans baisser la voix :
    
    "Chie-moi dans la bouche."
    
    Aujourd'hui, j'ai peine à comprendre comment je n'ai pas bondi en entendant cette phrase. Le commencement du récit m'avait sans doute préparé à tout, même à cet imprévu. Et puis la pauvre fille était si jolie, si douée… Elle m'avait dit cela au hasard, comme une chose toute naturelle... Et, malgré ma stupéfaction, elle insista.
    
    "Oh! Quoi ! si je te le propose, ne te fais pas prier. Je ne te dirai
    
    pas que j'aime ça comme Lili...
    
    - Lili aime ça ?
    
    - Bien sûr ! Lili ! Qu'est-ce qu'elle ...
    ... n'aime pas ! Moi, je n'aime qu'une
    
    chose, c'est ce que tu me fais...
    
    - Alors ?
    
    - A cette époque, j'avais quatre costumes que je prenais selon les cas. D'abord une robe de petite fille très élégante avec une grande ceinture de soie. Et puis un peignoir de bordel avec des entre-deux. Et puis un tablier noir d'écolière ; je nattais mes cheveux quand je le mettais. Et puis un costume de petit garçon que je portais avec une perruque. Et tout ça m'amusait encore plus que les michés. Jamais maman ne me laissait seule avec un homme. Chaque fois qu'on m'enculait, elle me tenait les fesses, elle me mettait elle-même la pine dans le cul, ainsi on ne me faisait pas mal. Et pourtant j'en ai eu des queues à cet âge-là ! Les hommes qui enculent les petites filles sont ceux qui ont les plus gros membres, est- ce drôle ? Mais, grâce à maman, jamais je n'ai saigné. En même temps j'apprenais à aider maman. Quand on l'enculait devant moi, je suçais les couilles de son ami ou bien je faisais... ce que Lili fait maintenant... c'est difficile à expliquer... je mettais toute la main dans le con de maman et j'empoignais la queue qu'elle avait dans le cul en la serrant dans la peau qui sépare le con et le cul, est-ce que tu comprends ? et ainsi je branlais la pine qui enculait maman. Lili te le fera demain si tu veux. Cette existence-là durait depuis un an quand il m'est arrivé la chose la plus extraordinaire de ma vie. Et pourtant, j'en ai vu, depuis ! et j'en ai à te dire, tu verras ! Mais ça, ...
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