Trois filles et leur mère
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: luciole06, Source: xHamster
... humide, plus douée, plus tendrement abandonnée. Je m'étais un peu retourné, de telle sorte qu'elle était presque couchée sur moi de dos, ce qui lui permit d'ouvrir les cuisses dans tout leur écartement. J'y mis la main avant elle : c'était un lac. Songeant qu'elle ne s'était pas encore branlée, je me demandai quel phénomène jaillirait sous ses doigts quand elle aurait fini. Ses gémissements commencèrent au premier moment qu'elle fut pénétrée et durèrent huit ou dix minutes, sans crescendo, sans effet. Elle semblait insouciante de dissimuler son plaisir et surtout de le crier comme une actrice. Elle se branlait si lentement que sa main paraissait immobile, et moi-même, comprenant assez qu'elle aimait ces voluptés calmes, je ne faisais dans ses chaudes entrailles que des mouvements imperceptibles. Vers la fin, prise d'un scrupule qui la peint tout entière, elle tourna vers moi un œil languissant et me dit avec faiblesse :
"Veux-tu que je te parle ? Tu vois si je suis contente quand tu m'encules! Aimes-tu que je te dise tout ce que je sens pendant que j'ai ta queue dans le trou du cul ?
- Non. Dis-moi seulement quand...
- Quand je déchargerai ?
- Oui.
- Quand tu voudras. Aussi souvent que tu voudras. Je l'ai fait en t'embrassant avant que tu m'encules et je suis prête à recommencer.
- Tout de suite ?
- Mais oui. Tu ne vois donc pas que je me branle "autour" ? Quand tu me diras de jouir, je jouirai."
Ces choses-là ne se disent pas. Je lui fis ...
... comprendre que je l'attendais et son plaisir qui devança le mien d'un instant se prolongea pourtant davantage, car les femmes jouissent plus longtemps que nous. La minute qui suivit ne nous sépara point. Charlotte restait dans mes bras et me regardait en silence avec cette expression de gratitude que tous les amants connaissent.
"J'aime tes seins", lui dis-je en les caressant.
Et je n'avais dit que cela et j'espère que j'allais trouver quelque chose de mieux, quand elle m'interrompit avec une exclamation de surprise :
"Oh ! que tu es gentil! C'est maintenant que tu aimes mes seins, mon chéri? Tu viens d'enculer la pauvre Charlotte et tu n'en es pas dégoûté ?
- Dégoûté ? mais tu es folle.
- Si tu savais ce que c'est que la vie d'une putain...
- Je t'avais défendu de te traiter ainsi.
- Alors qu'est-ce que je suis depuis douze ans qu'il me passe tous les jours quatre ou cinq hommes sur le derrière et que n'importe quelle gousse peut me frotter son cul sur la gueule ? Si je te dis que toutes les putains se branlent, c'est qu'elles ont des raisons pour ça. Quand on fait le métier, on se branle ; autrement on ne jouirait guère. En tout cas, on sait une chose, c'est que quand on a tout fait pour plaire à un homme et qu'il a fini de décharger, on n'est plus qu'une putain et une fille de putain.
- "Ma pauvre Charlotte", comme tu dis, je t'assure que...
- Et je ne suis pas habituée qu'on me fasse des compliments sur mes
nichons quand on vient de m'enculer, ...