Trois filles et leur mère
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: luciole06, Source: xHamster
... incident de cette aventure. Charlotte avait-elle trop présumé de son goût maladif pour l'humiliation ? Lili, comme tous les enfants, manquait de mesure dans la farce ; avait-elle abusé du rôle qu'elle achevait d'improviser ?
Non. L'explication que j'entrevois est la plus difficile à donner parce que j'écris ce livre à la première personne. Mais, devant l'amour de Charlotte… "il n'y a pas de quoi se vanter", comme disait Lili. Ce n'est certes pas cette histoire que je choisirais entre mes souvenirs si je voulais vous faire imaginer l'éblouissement de mes séductions et vous ne serez pas émue à l'excès, mademoiselle, si je vous dis que cette nuit-là, où je ne quittai guère Mauricette, Charlotte, plus nerveuse d'heure en heure, me parut aussi plus infortunée.
Car ce fut Mauricette qui déchaîna la crise. Elle rit. Je ne sais pas pourquoi. Le dernier couplet de Lili était ce qu'elle avait dit de moins drôle depuis une heure ; mais il était fort injurieux. Mauricette éclata de rire.
Immédiatement, Charlotte éclata en sanglots. Et quels sanglots ! Je croyais les connaître, les sanglots de Charlotte ! Je fus épouvanté de ce que j'entendis. Elle se coucha sur le sol, comme une pauvre bête qui meurt, tira sa jupe d'une main errante et maladroite, pendant que Lili décontenancée la délivrait par- derrière. Et ce ne furent pas des pleurs, mais des cris qu'elle poussa, des cris, des cris, des cris… Teresa me dit vite en passant près de moi :
"On l'a empêchée de jouir. C'est la ...
... faute de la gosse. Il ne faut jamais arrêter Charlotte quand elle se branle, ou voilà ce qui arrive."
La crise était pourtant assez forte, cette fois, pour inquiéter ses sœurs presque autant que moi-même. Avec Teresa, elles relevèrent Charlotte, l'étendirent sur le divan, la prirent dans leurs bras. Mais les grands orages ne cessent pas aussi brusquement qu'ils éclatent. Quand Charlotte put vagir à travers ses sanglots ce turent des phrases désespérées :
"Tu as raison, ma Lili... Je suis aussi bête que putain… Je ne suis qu'une salope et une tourte... Et tout le monde se fout de moi… Et on ne m'aimera jamais"
ÉPILOGUE
Heureusement pour ma santé, mais par un coup fatal au sein de mes plaisirs, cette existence fut rompue quelques jours plus tard. Un soir, la concierge me remit ce billet énigmatique et pourtant déchiffrable.
"On nous ennuie là-bas à cause du numéro trois. Je les emmène très loin cette fois-ci ; mais on revient en quinze jours de ces pays-là et nous nous reverrons. Elles t'embrassent. Nous avons été vraiment gentilles, mais toi aussi. Je t'embrasse la dernière."
Dirai-je que jusqu'à cet instant je n'avais pas assez considéré tout ce qu'une telle aventure m'offrait de singulier, de complexe et d'agréable ? Le désespoir que j'eus à lire ces dix lignes fut cent fois plus violent que n'eût été mon plaisir et si elles m'avaient dit : "Viens ce soir."
Je me rappelle le proverbe espagnol : Ayer putas, hoy comadres. (Hier putains ; aujourd'hui amies ...