1. Trois filles et leur mère


    Datte: 16/04/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou Auteur: luciole06, Source: xHamster

    ... n'en demande pas tant avant de se mettre à poil."
    
    Je conte bien mal cette histoire si vous ne comprenez pas le fou rire qui m'empêcha de répondre a la dernière phrase. Lili seule ne riait pas. Elle était même pressée et releva sa robe d'écolière jusqu'à la ceinture.
    
    "Dépêchons-nous ! C'est sérieux ! Si tu ris, tu vas me rater !"
    
    Je le savais bien ; mais Lili me donnait beaucoup plus de gaieté qu'elle ne m'inspirait de concupiscence et la jovialité bruyante de Teresa troublait sans cesse les efforts que je faisais pour rester grave. Il s'en fallut de peu que le flagrant délit ne fût manqué. Par hasard, Mauricette prolongea son absence de quelques minutes : cela seul permit à Lili de continuer la scène selon ses conceptions et lui donna l'accessoire qui lui était indispensable.
    
    Dès la rentrée de sa sœur, Lili reprit son rôle :
    
    "C'est vrai, mademoiselle, que vous travaillez Monsieur depuis avant-hier, sans arriver à rien ?
    
    - Penses-tu, grenouille! Je l'ai sucé à dix heures et demie, il m'a enculée à onze heures.
    
    - Que vous dites ! mais il était mou comme une loque devant vous, et voilà
    
    comment j'ai le plaisir de vous le rendre. C'est vingt francs. Voulez-vous une facture ?"
    
    Mauricette fit un geste de la main qui menaçait Lili de quelques représailles ; mais elle resta de bonne humeur et, sans se martyriser l'imagination, elle dirigea son rôle de façon à tenir sa promesse :
    
    "Je n'ai pas d'argent, dit-elle, mais ce que tu tiens vaut mieux. ...
    ... Prends-
    
    le la première, ne me l'abîme pas, rends-le-moi et nous serons quittes."
    
    Lili eut alors l'expression la plus comique de toutes : un mélange de désillusion, de politesse et d'indifférence, et cessant de me toucher elle dit à sa sœur :
    
    "Ce sera vingt francs de plus."
    
    Visiblement, Mauricette n'attendait qu'un prétexte pour se montrer bonne joueuse : un mot qui ne serait pas une raillerie à son adresse. Elle embrassa Lili en riant, puis l'empoigna par la taille, lui releva les jupes et me dit :
    
    "Tiens ! Prends-la par où tu voudras !"
    
    Une autre gosse eût trouvé drôle de crier : "Maman ! on me viole !" Mais Lili ne faisait jamais de gaffes et d'ailleurs elle avait quelque chose de plus
    
    pressé à nous dire ou plutôt à nous rappeler :
    
    "Mademoiselle ! Mademoiselle ! mais je suis une écolière ! J'ai mon pot de vaseline dans mon petit panier !
    
    - Ah ! fais donc ton étroite ! dit Mauricette. Est-ce que tu as besoin de vaseline ? Je vais te cracher dessus. Tiens-toi bien !"
    
    Et, Lili s'étant placée pour jouer à saute-mouton, Ricette se mit à cheval sur elle, mais à rebours et sur la nuque pour lui fourrer la langue partout où je pouvais m'introduire. Puis, lui tenant la taille entre ses deux cuisses, elle me dit avec entrain :
    
    "Maman a deux cons, parce qu'elle a autant de poils derrière que devant ; mais, quand Lili ouvre ses fesses, dirait-on pas qu'elle a deux trous du cul ?
    
    - C'est encore mieux !" dit Lili qui répondit la tête en bas.
    
    Celui que je pris ...
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