La Gestionnaire (4)
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... bande de tissu est étroite. Si Charlotte bouge un peu, ses seins ne tiendront pas cachés derrière la bande. Ils sortiront à la vue de tous. L’autre est fendue sur le devant jusqu’au nombril. Des pans plus larges partent de la taille et se rejoignent derrière le cou. Le dos est entièrement nu et laisse deviner la naissance de la raie des fesses.
Pour les tailleurs, des jupes très courtes et deux vestes. L’une très courte et très ajustée, l’autre longue avec un seul bouton au niveau du nombril. J’y ajoute une grande cape noire, doublée de rouge. Elle se ferme par un clip au niveau du cou. Colis à livrer cet après-midi...
Le magasin de chaussures jouxte celui de vêtements. Nous entrons. Charlotte n’a pas pipé mot depuis le magasin de lingerie. Je choisis deux modèles. Ce sont des escarpins en chevreau noir. Les talons font entre huit et dix centimètres de haut. Charlotte essaie. Elle fait quelques pas :
— Je ne pourrais pas marcher avec cela...
— Tu vas t’y habituer, ne crains rien...
Nous sortons après avoir demandé la livraison à domicile...
Au retour vers la maison de Charlotte, je m’arrête à la zone commerciale.
— Tu as besoin de quelque chose... ?
— Oui, je vais le chercher. Ne bouge pas ! Et ne tire pas sur ta jupe...
En effet, la lisière de ses bas est apparente. Si elle venait à rapprocher ses pieds du siège tout passant pourrait admirer son sexe nu et son absence de culotte. Charlotte ne bouge pas.
Je reviens avec un sac de papier opaque ...
... que je dépose dans le coffre de l’Audi TT.
— Tu as trouvé ce que tu cherchais ??
— Bien sûr, c’est relativement courant...
— C’est quoi ?
— Tu le verras cet après-midi...
— C’est pour moi ?
— Tu es trop curieuse, ma petite salope adorée...
Nous regagnons la maison. Charlotte a emporté la télécommande du portail d’entrée. Elle actionne à distance l’ouverture de la porte. J’avance lentement. Une fois le seuil franchi, je m’arrête. Charlotte me demande :
— Tu as prévu de rester ici ?
— Non, mais tu vas descendre...
Elle me regarde incrédule...
— Pourquoi ?
— Tu vas descendre et te déshabiller...
— Bien, mon bon Maître...
C’est moi le plus surpris dans l’affaire. Je pensais qu’elle allait hésiter, tergiverser, négocier. Mais non, elle obéit.
Elle sort de la voiture. Elle vient devant le capot. Elle enlève sa veste son chemisier. Elle bombe le torse et saisit les pointes de ses seins. Elle les tord pour les rendre plus saillantes, plus carmin. Elle pose la jupe. Elle jette le tout par la fenêtre ouverte. Elle pivote sur ses pieds pour me faire admirer le côté pile comme le côté face. Et d’un pas nonchalant, accentuant le balancement de ses fesses, elle avance vers la maison. Elle ouvre en grand le portail du garage. J’entre et elle referme derrière elle. Nous montons à l’étage.
— Dis-moi ce que tu as acheté tout à l’heure au super marché ?
— Tu veux vraiment savoir ?
— Oui, dis-moi, je suis sûre que c’est pour moi...
— OK, ...