1. Tu fais ce que je te dis (1)


    Datte: 10/05/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Frédérique, Source: Xstory

    Bon, comment vous expliquer cette histoire assez particulière.
    
    Déjà, je m’appelle Thalia, 28 ans, un enfant, et je travaille en tant que femme de ménage dans un hôtel de luxe. Donc le cadre est très strict, que ce soit pour notre tenue, mais également parce que nous avons une liste de protocoles qu’on doit bien sûr suivre à lettre, surtout quand on entre dans les chambres, ainsi que leur nettoyage. Tout est carré, mais j’aime ce côté-là de mon travail, et le fait de pouvoir travailler quasiment seule. La seule personne qui pourrait me faire chier, c’est mon responsable qui vérifie que tout soit parfait.
    
    Ce fameux responsable s’appelle Damien. Il est plus vieux que moi, il me semble pas loin de la quarantaine, mais un très bel homme, qui connaît son pouvoir de séduction. Je le sais, car je suis l’une de ses nombreuses proies. Il est chauve, ce qui lui donne ce côté dur et mature, des yeux très expressifs, un très beau sourire, et surtout un corps magnifique qu’il entretient avec minutie.
    
    Mais c’est aussi un gros salaud.
    
    La première fois que j’ai couché avec lui, je venais d’arriver, ça fait trois ans environ. Je venais de finir mon service et je me préparais dans les vestiaires. Je me déshabillais, me baignais, et à mon retour, je le voyais près de mes effets. Il était assis comme si il m’attendait. Moi, j’étais en serviette, une petite serviette qui ne cachait même pas tout mon corps. Je ne pouvais couvrir en même temps ma poitrine et mes fesses. Je fus bien sûr ...
    ... surprise de le voir, et je me sentis rougir et hyper-gênée. Lui, était assis à me regarder de la tête aux pieds, en attardant son regard sur mes formes que je ne pouvais cacher.
    
    — Tu es une femme magnifique, finit-il par me lancer.
    
    — Qu’est-ce que vous faites là ? arrivais-je à lui dire.
    
    — J’avais envie de te voir sans ta tenue. Et j’avoue que je ne regrette pas d’avoir assouvi ma curiosité.
    
    — Vous pouvez partir s’il vous plaît ?
    
    — Pourquoi ? Je ne t’empêche pas de te préparer, me dit-il calmement.
    
    — Vous pouvez partir s’il vous plaît ? lui répétais-je.
    
    — Tu me fais bander, me dit-il en passant sa main sur son pantalon.
    
    Je fus en même temps offusquée et intriguée, presque excitée par ses paroles, mais aussi de son attitude. Il ne baissait à aucun moment ses yeux et sa voix resta calme.
    
    — Tu veux voir ? continua-t-il, comme si il avait senti mon hésitation.
    
    Ne lui répondant pas, il se mit debout, défit son pantalon et le baissa, et me fit découvrir son boxer noir déformé par son énorme queue, qui n’attendait qu’une chose...
    
    Rien que ça, je me mis à mouiller. Il finit par baisser son boxer et libéra son pénis qui avait l’air de respirer enfin. Il reflétait bien l’envie de son propriétaire. Il mit sa main sur son membre et se mit à se branler en me regardant.
    
    — Tu vois, je ne t’empêche pas de te préparer, me dit-il en se masturbant.
    
    Je ne savais pas quoi faire. Je décidais donc de me découvrir, ce qui le fit se branler plus vite. Il émettait ...
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