Repas d'affaire avec ma femme chez son patron (4)
Datte: 15/04/2021,
Catégories:
Transexuels
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... qu’il avait créé. Le terrain était immense et partiellement boisé, au milieu se trouvait un énorme bâtiment récent. Il m’a fait visiter sa société, en étant très tendre avec moi, l’ambiance avait l’air d’y être sympa. J’étais impressionné par le degré de sécurité qu’il y avait, toutes les portes étaient à badge, il y avait même un ascenseur qui ne fonctionnait aussi qu’avec. Finalement nous sommes arrivés dans le local archives, il m’a expliqué que seules trois personnes pouvaient y accéder. La surface était énorme et il y avait une moquette épaisse au sol, le patron était fier de me décrire le système de sécurité. Maintenant que nous étions tous les deux dans cette pièce, Claude ne s’est pas privé de me bloquer contre le bureau pour m’embrasser. Il n’a pas pu se retenir de venir me caresser les fesses et par la même occasion il a pu constater l’effet qu’il me faisait. Quand nous avons abordé la question du salaire, je n’ai pas pu dire non quand j’ai constaté qu’il m’offrait deux fois et demi le salaire que je gagnais aujourd’hui.
Quand j’ai constaté qu’il y avait un énorme canapé convertible j’en ai conclu que le patron avait vraiment tout prévu. Je n’ai pas pu dire non à ce qu’il me proposait, je suis descendu signer les papiers avec lui. ...
... Il m’a alors expliqué comment je devais me prendre, pour me libérer le plus vite possible. Tout s’est passé pour le mieux, c’est ainsi que quinze jours après, je commençai dans la société de Claude. La pièce archives était magnifique, je me sentais bien dedans, seuls Claude, la secrétaire de direction et moi en avions les clés. La secrétaire de direction, qui a commencé en même temps que moi, se prénommait Geneviève, une quinquagénaire, manifestement elle était sèche et autoritaire. Elle était grande et très belle, mais dissuasive dans son comportement. J’ai été rapide à trouver mes marques dans le local archives, je n’avais pour seul compagnon que le silence ou les oiseaux quand j’ouvrais les fenêtres. Nous étions au deuxième étage et je n’avais strictement aucun vis-à-vis. De l’Intérieur personne ne pouvait avoir vue sur les archives, et c’est ainsi que rapidement Claude m’a invité à ce que je sois toujours dans une tenue féminine sur mon lieu de travail. Il allait de soi que je devais me changer en sortant du local, mais au moins cela permettait au patron d’avoir sa petite pédale à disposition.
Bien que je me sois absenté un long moment, rien n’a changé je réponds toujours avec grand plaisir à tous les commentaires.
Gros bisous à vous