Odile devient insatiable
Datte: 14/04/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
extracon,
cocus,
vacances,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
glaçon,
couple+h,
extraconj,
cocucont,
Auteur: Edmond Louis, Source: Revebebe
... cette semaine ils passeraient ensemble quelques heures. Il lui promit de passer chez elle mercredi soir. Mercredi effectivement, il sonna et se conduisit amoureusement avec elle. Au début il la sentit crispée, mais il arriva vite à ses fins en se coucha sur elle. De sentir en elle ce membre tant désiré, vivant et dur la fit pratiquement jouir, elle lança son ventre contre son corps pour mieux apprécier cette queue. Alexandre répondit à son plaisir. Longtemps, il vint en elle et, dans un dernier coup, il l’inonda. Elle se sentit délirer, une fois remise elle se mit à ronronner entre ses bras. Elle s’endormit, il partit avant le retour de son mari. Elle reprit conscience quand elle entendit claquer la porte d’entrée. Instinctivement elle tapota à côté d’elle, ne sentit rien, alors se levant brusquement, elle retendit l’oreiller, les draps, et se recoucha. Comme souvent après les réunions il lui déposa sur le front un petit baiser et s’endormit rapidement.
Le lendemain matin, elle fit un détour par chez Alexandre. Par chance, elle vit sa voiture et trouva une place pour stationner. Elle sonna à l’entrée, il lui répondit et l’invita à monter. Elle le trouva sur le point de partir, l’embrassa et presque implorante lui demanda si le samedi ils passeraient l’après-midi ensemble. Sa réponse fut hésitante, il ne savait pas encore ce qu’il ferait car il attendait un appel téléphonique, suivant la teneur de cet appel il lui donnerait une réponse. Elle se fit insistante mais il ne ...
... changea pas de réponse, la seule concession qu’il fit fut de lui dire qu’il l’appellerait dans la journée. Ils descendirent ensemble et après un dernier baiser se séparèrent. Effectivement il lui téléphona et lui demanda de venir mais pas avant seize heures. Malgré tous les efforts qu’elle déploya il ne put que confirmer cette heure.
Le samedi, elle ne tenait plus en place. Les courses furent faites rapidement et le repas de midi se limita à un pâté-croûte-salade. C’est tout juste si elle ne poussa pas son mari dehors. Dès qu’il fut parti, elle s’habilla et prit la route jusque chez Alexandre. Elle coupa le contact et regarda sa montre : il était treize heures trente. Anxieuse elle se tripotait les doigts, puis elle se décida à sortir de sa voiture. Une fois arrivée devant l’immeuble, elle se demanda comment faire, était-il chez lui, seul ou en compagnie, elle n’osait pas sonner, et personne dans la rue, elle attendit en regardant sa montre et en faisant les cent pas.
En revenant devant la porte, elle aperçut deux personnes s’apprêtant à sortir, elle fit mine de chercher dans son sac. Une fois la porte ouverte, elle entra en les remerciant. Puis attaquant l’escalier un peu tremblante elle monta lentement. Arrivée sur le palier, elle mit son oreille contre la porte pour écouter. Elle entendit des voix, et se demanda quelle conduite tenir. Elle ne pouvait pas attendre deux heures sur le palier.
N’y tenant plus elle tourna la poignée, la porte n’était, comme d’habitude, ...