1. Odile devient insatiable


    Datte: 14/04/2021, Catégories: fh, fhh, couple, extracon, cocus, vacances, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, glaçon, couple+h, extraconj, cocucont, Auteur: Edmond Louis, Source: Revebebe

    ... cette charmante soirée et promirent de les inviter en retour. Ils furent suivis de peu par Alexandre et Sandra. Odile les regarda s’éloigner, un peu inquiète quand même. Louis débarrassa les verres en l’attendant. Elle lui dit de tout laisser, qu’ils rangeraient demain, qu’elle était fatiguée et avait hâte de dormir. Elle fit un passage rapide par la salle de bains et se coucha près de son mari.
    
    Quand elle se réveilla, une odeur du pain grillé avait envahi la maison. Passant un peignoir sur sa nudité, elle s’étira tout en marchant vers la cuisine. Ne trouvant pas son mari, elle continua tout en bâillant de marcher. Elle le trouva dans la salle à manger. Elle l’embrassa, constatant que tout était rangé, puis se servit un grand bol de thé et se beurra une tartine. Les premières bouchées ingurgitées, elle leva les yeux vers lui.
    
    — Laure et Patrice sont très sympas. Nous avons passé une bonne soirée.
    — C’est vrai, je n’ai pas vu les heures tourner.
    
    Il essaya d’amener la conversation sur les deux autres participants, mais en vain, elle la détournait à chaque fois. Alors il passa à autre chose en voyant les pans du peignoir s’ouvrir sur ses seins.
    
    — Tu devrais fermer ton peignoir, sinon je ne réponds de rien.
    
    Elle fit celle qui n’avait pas entendu et continua de manger et de boire, se tortillant sur son siège pour qu’il s’ouvre davantage, en le regardant ironiquement, une moue innocente sur son visage. Comme Sandra la veille au soir, elle joua avec ses cheveux, les ...
    ... mettant devant son visage et soufflant dessus pour les écarter, afin de manger ou boire. Il la regarda, il se mit à côté d’elle ; tournant la tête elle vit qu’il était comprimé dans son pantalon. Mettant une main sur la bosse qui s’était formée, elle lui demanda :
    
    — Est-ce que je peux faire quelque chose pour toi ?
    
    Il ne répondit pas, la souleva et l’emmena vers leur chambre toute proche. Sans ménagement il la jeta sur le lit, défit sa ceinture, baissa son pantalon, retira son tee-shirt, écarta en grand le peignoir. Les jambes d’Odile pendaient sur le sol, il les écarta, il lui toucha le sexe d’un doigt. Elle tressaillit. Il le promena entre ses lèvres, remontant et descendant mais sans la pénétrer. De son autre main, il massa son clitoris. Elle gémit, et d’un mouvement lascif du basin lui réclama un plaisir qu’il ne désirait pas encore lui donner. Il approcha son visage et quand il fut tout près, elle le prit entre ses mains et l’appliqua sur son sexe. La douceur de la langue parcourant sa fente jusqu’à son bouton n’éteignit pas le feu intérieur qui la dévorait. Il prit son clitoris entre ses lèvres et il le téta en l’aspirant pour le faire encore sortir plus de son repère. Deux doigts maintenant avaient pris possession de son vagin et coulissaient en elle. Son corps se cambra sous l’orgasme qui la traversait. Elle resta anéantie sur le lit.
    
    Il se redressa. La prenant par le bassin, il l’attira plus sur le bord du lit. Il la saisit par la taille, pointa sa queue à ...
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