Odile devient insatiable - Histoires de Sexe

Odile devient insatiable

... La semaine fut agréable, le soleil réchauffa leurs corps. Le soir, fatigué par le grand air, ils s’endormaient dans les bras l’un de l’autre. Odile s’offrit sans restriction, Louis lui donna le meilleur de lui-même. Le samedi arriva trop vite, ils durent repartir. Le retour fut triste, ils ne parlèrent pratiquement pas, sachant que tout allait reprendre. Odile se sentit déchirée après cette semaine. Alexandre lui avait manqué, mais moins qu’elle ne l’aurait pensée, Louis avait tout fait pour lui faire oublier est il y était presque arrivé. Seule une petite démangeaison, au fond d’elle, lui rappelait qu’il y avait Alexandre. Ce qui lui plaisait le plus chez lui, c’était qu’il devinait quand elle avait besoin d’un rapport furtif ou alors d’une longue chevauchée. Elle en ressortait à chaque fois comblée.

Ils arrivèrent tard dans la nuit. Le temps de vider le coffre et de manger un petit morceau, il était déjà une heure trente du matin. Se prenant par la main, ils se dirigèrent vers leur chambre. À peine déshabillés ils s’endormirent. Vers midi un coup de klaxon dans la rue les réveilla. Odile s’étira langoureusement, se coucha sur son mari.

— Tu as envie maintenant, ou après déjeuner ?
— J’ai envie maintenant et j’aurais assurément envie après.

Odile se fit câline et souhaita déjeuner au lit. Ils firent l’amour rapidement. Brutalement, il poussa son phallus dans son vagin chaud et humide. Tout en la pistonnant il la caressa partout, pinçant un bout de sein ou ...

... palpant l’autre. Odile s’arc-bouta au moment où un flash la traversa. Elle retomba les yeux mi-clos, le souffle court sur son mari. Il attendit et la repoussa, elle s’enroula dans les draps. Il partit vers la cuisine.

Quand il revint, elle somnolait. Il lui déposa de petits baisers dans le cou, elle lui fit face et se redressa. Il ne put, en voyant sa poitrine émerger des draps, s’empêcher d’avoir un début d’érection, et lorsqu’il déposa le plateau sur le lit, elle en profita pour lui flatter les bourses ce qui le fit durcir un peu plus. Mais il se dégagea et s’assit à côté d’elle pour prendre le copieux petit déjeuner qu’il avait préparé. Une fois terminé, il rapporta le plateau à la cuisine.

De retour dans leur chambre, il écarta brusquement le drap pour la découvrir entièrement. Comme à chaque fois, une petite boule se noua quand il la vit nue, les jambes ouvertes, une main posée sur son sexe, un doigt écartant ses lèvres et s’insinuant à l’intérieur. Il sauta sur le lit et, avant qu’elle ne se rende compte de ce qui lui arrivait, il lui retira sa main, ouvrit son sexe et glissa rapidement dedans une banane verte épluchée. Il entreprit de la masturber avec, mettant ses bras par-dessus sa tête. Elle s’abandonna à cette caresse intime. Un cri de dépit sortit de ses lèvres quand il la retira, prit dans un bol posé près du lit deux glaçons et les plongea dans son sexe, le refermant prestement avec sa main. La contraction de ses muscles quand le froid des glaçons fut dans son ...