1. Entre rêve et réalité (5)


    Datte: 14/04/2021, Catégories: Divers, Auteur: boobook, Source: Xstory

    ... l’impression que je ne saurais pas me retenir. Je me précipite vers la première cabine libre. Je baisse ma mini-jupe puis me redresse pour baisser ma culotte. Je m’aperçois que je n’en porte pas. Je reste un long moment à admirer ce que je vois. Une chatte toute lisse et douce. J’en ai presque oublié que je dois faire pipi et reste en pleine contemplation debout devant la cuvette. J’ai comme une boule de chaleur dans le bas entre. Une excitation inexplicable. Je remarque que mes lèvres s’humidifient. Devant cette situation inconnue. Je suis perplexe. Est-ce que j’ai lâché quelques gouttes d’urine ? Je fini par m’assoir pour libère ma vessie. La sensation est vraiment bizarre. Plutôt inhabituelle. Ma vessie vide, je prends quelque feuille de papier pour m’essuyer. Devant la nouveauté de cette action, j’écarte les jambes au maximum pour tenter de voir ce que je fais. Je passe les feuilles en partant de mon anus en allant vers l’avant. C’est là que je sens une pièce métallique, je me penche un peu plus, et m’aperçois que je porte un plug anal couronné d’un faux rubis rouge écarlate. Je continue à m’essuyer et passe sur mon clitoris qui dépassait de plus d’un centimètre de mes lèvres. Une décharge électrique me parcourut le corps. Je jette les feuilles dans la cuvette. Et repasse ma main sur mon clitoris. Je découvre la sensibilité et le plaisir qui me submerge à chaque caresse. Je continue mes mouvements pour explorer cette nouvelle sexualité. Le plaisir monte, mais l’orgasme ...
    ... ne vient pas. Je retire malgré tout un grand plaisir de ces caresses. Je n’insiste pas et me dis que j’expérimenterai ça plus au calme et confortablement installée. Je remets ma mini-jupe, je sors et me dirige, je ne sais pourquoi, vers les miroirs. L’instinct féminin probablement. Je me recoiffe un peu et ajuste mes vêtements. J’en profite pour mater ce corps magnifique. C’est grandiose de pouvoir s’exciter sois même. Je sors des toilettes et parcours les couloirs. Il n’y a presque plus personne. C’était la fin de la journée. Je trouve la sortie et retrouve David et Leila sur un banc en train de s’embrasser.
    
    David : Aujourd’hui, tu n’as pas besoin de nous ramener. On part directement à la piscine. On prendra le bus jusqu’au périphérique.
    
    Leila : sauf si tu veux nous accompagner.
    
    Moi : pas aujourd’hui. Je vais aller me reposer, ce n’est pas la grande forme. J’ai la tête en pagaille. Je ne sais même pas comment je vais rentrer.
    
    David : pourquoi ? Tu ne te sens pas capable de reprendre ta voiture ?
    
    J’analyse la situation et comprends que j’ai une voiture qui m’attend. Mais où est-elle et à quoi ressemble-t-elle ?
    
    Moi : si, ça devrait aller maintenant que j’ai pris un peu d’air, ça va un peu mieux. Je roulerai la fenêtre ouverte.
    
    David : tu rigoles ou quoi, par ce temps-là décapote ta voiture tu auras de l’aire.
    
    J’ai donc une décapotable. Mais où est cette voiture ? En jetant un œil autour de moi, je ne vois que 3 voitures décapotables, une Peugeot, une ...
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