Chagrin d'amour - Histoires de Sexe

Chagrin d'amour

... dans le salon. Dix minutes plus tard, les deux femmes sont venues m’y rejoindre.

- Assied-toi, a dit mon épouse à notre fille !

Ma fille s’est assise à côté de moi sur le canapé.

- La pauvre a un chagrin d’amour, a ajouté mon épouse !

- Elle veut plus de moi, a gémi notre fille !

- Bon, tu as compris, m’a alors dit mon épouse ! Notre fille est lesbienne ! Ce sont des choses qui arrivent !

Je n’avais jamais réalisé que les seins de ma fille étaient aussi gros, et même plus gros que ceux de sa mère. Ils bougeaient à chacune de ses respiration et elle a fini par dire à sa mère qu’elle ne veut pas de soutien-gorge.

- Bon, retire-le, a concédé sa mère !

Notre fille a passé les mains sous son T-shirt et elle a dégrafé son soutif et elle l’a retiré en gesticulant. Je regardais le mouvement de ses seins sous le tissu puis les mamelons se sont incrustés à leur tour. Rien n’était plus caché. C’était comme si plus rien ne les cachait. En plus, je m’étais mis à bander. J’ai baissé les yeux et j’ai compris que les deux femmes ne pouvaient pas l’ignorer car ça déformait mon pantalon.

- Je suis désolée, ma chérie, a fait mon épouse à sa fille ! Viens, il faut que je te parle !

Ma femme m’a pris par le bras et je l’ai suivie dans notre chambre.

- Je ne sais pas, toi, mais moi, tout ça m’a échauffée, m’a-t-elle lancé Tu n’as pas envie ? Moi, si !

Elle s’est déshabillée puis elle m’a dit que ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas autant eu envie d’être ...

... baisée et elle m’a déshabillé puis elle m’a branlé et sucé la vite puis elle s’est mise en levrette.

- Baise-moi, m’a demandé mon épouse !

Je lui ai répondu que je voulais l’enculer.

- Alors, encule-moi si c’est ça que tu veux, m’a-t-elle répondu !

Je n’ai pas hésité. J’avais essayé plusieurs fois mais je n’avais jamais pu aller jusqu’au bout. Ce n’était pas qu’elle refusait mais elle avait toujours des remords et elle me disait qu’on ne devait pas faire ça.

Là, je la tenais bien et j’étais déterminé à aller jusqu’au bout. Je n’avais jamais imaginé que ça puisse être aussi excitant.

- Je ne suis pas une putain, a fini par dire mon épouse au moment où j’éjaculais !

J’ai guidé ses doigts sur son anus et je lui ai fait vérifier que je l’avais empli de sperme. C’est là que j’ai vu que Nadia nous regardait. Je lui ai demandé si ça faisait longtemps et elle m’a dit qu’elle venait d’arriver mais je n’ai pas été dupe.

Sa mère s’est levée du lit et elle a mis sa main sous ses fesses et quand elle a traversé la chambre, ses seins ont ballotté dans tous les sens. Quant à son cul…

- Vous êtes des cochons, m’a alors lancé ma fille !

- Et ma fille chérie une gouine, lui ai-je répondu !

Elle a fait demi-tour et elle est allée dans sa chambre mais elle n’a pas fermé la porte. Un peu plus tard, je suis retourné la voir. Elle était allongée sur son lit et elle s’appuyait sur son coude. Je lui ai dit qu’une de perdue, dix de retrouvées mais ça ne l’a pas amusée. ...