1. COLLECTION ANNE MA MUSE. L’accident. Mon premier black (1/2)


    Datte: 14/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... ferme, des seins toujours très dressés.
    
    - Cela ne fait pas tout.
    
    Je vous étonne peut-être en vous disant que je préfère les femmes mûres.
    
    Je suis aux anges, il tombe lui-même dans mes filets.
    
    - C’est intéressant, je ne m'attendais pas à ce qu’un jeune homme comme vous me dise cela.
    
    Une femme mûre, ce sont des seins qui tombent, des rondeurs mal placées.
    
    - Mais aussi une grande expérience par rapport à de petites dindes.
    
    Disant cela, je me lève.
    
    Je suis arrivée au point de rupture qui va me faire tout gagner si je continue à jouer le jeu intelligemment.
    
    Je réduis la distance naturelle sous couvert de lui donner sa tasse, je laisse mon peignoir s’ouvrir naturellement.
    
    - Pardon, mon peignoir me trahit, mais si je vous ai bien entendu, vous appréciez ?
    
    La tête de ce grand garçon aux grands yeux et surtout sa corpulence mesurant 1 mètre 80 pour un peu moins que le quintal.
    
    Les deux pans se sont écartés, faisant deviner la vallée entre mes seins et me permettant de lui montrer ma chatte épilée.
    
    Cela faisait partie de mon plan imaginé quand Jean, mon fils, m'a relaté son accident et informé de la venue de cet homme.
    
    - Tu permets.
    
    Après ce que tu m'as dit, puis-je te proposer de régler cette affaire à l’amiable, si je suis à ton goût ?
    
    Je devais être rouge de honte, mais je suis aussi excitée en prononçant ces mots.
    
    Je profite de la surprise affichée sur son visage, je me penche et j’avance ma bouche vers ses grosses lèvres ...
    ... noires.
    
    Il ne me les refuse pas, sortant lui-même sa langue qu’il me fourre bien profond dans ma bouche, au contact de la mienne.
    
    Le moment d’étonnement vite passé, il avance ses mains et fait tomber mon peignoir.
    
    Il se saisit de mes deux seins, qui se dressent face à lui, ses mains commencent à les caresser.
    
    Mes tétons réagissent, mes aréoles très sombres se fripent.
    
    Ma poitrine semble lui plaire, comme ma bouche.
    
    Mes mamelons sont aux anges.
    
    Tout le temps où je me suis préparée, espérant en arriver là, j’avais fantasmé sans penser que ce serait si génial.
    
    Surtout que devant moi, comme mes mamelons, la bosse dans son pantalon commence à se développer, la pauvre, vivement que je la fasse sortir.
    
    Vais-je avoir la chance qu’elle soit, comme mon rêve me la présentait, longue et grosse ?
    
    Je m’agenouille devant lui.
    
    C’est lui qui dégrafe son jean, fendu comme les jeunes d’aujourd’hui, à la hauteur de ses rotules.
    
    Il le descend à ses genoux, comme mon fils, pas de slip, pas de caleçon, je le sais, je lave son linge parmi tous les désagréments que mon Jean m’apporte.
    
    Sa verge saute en l’air lorsqu’elle est libérée.
    
    Le manque de sous-vêtement doit faciliter les choses chaque fois qu’ils se font une meuf, c’est comme cela que mon fils me parle de ses copines.
    
    Comme je l’ai dit parlant d’un Tanguy, à 25 ans, il est loin d’être mature et semble se complaire à vivre chez maman, je dirais même aux crochets de maman.
    
    Pour la première fois, je découvre ...