1. Aline 1


    Datte: 13/04/2021, Catégories: Première fois Auteur: Accent, Source: Hds

    ... au balancement des hanches et au mouvement harmonieux des fesses enveloppées de tissus bariolés. J’imaginais ce qui pouvait être caché, j’en rêvais. Alors cette Vénus nue, dévoilée pour moi, cette sublime fleur à peine épanouie, c’est une révélation stupéfiante, c’est une découverte splendide: j’en reste pétrifié, muet, en adoration. Je regarde, je vois ce nombril en creux au-dessus du délicat bombé du ventre, sous la mousse de poils du pubis se dessine le début de la vulve qui fuit vers l’arrière, le renflement des cuisses se dégage en colonnes coniques vers le nœud des genoux. Mon regard remonte vers les seins aux aréoles plus sombres où pointent les tétons érigés, j’admire le délié du cou et m’arrête au visage d’ange auréolé des fins cheveux bruns ordonnés avec grâce. J’ai fait le tour. Tout est beau, tout est admirable et je reviens au plus touchant, aux yeux qui découvrent avec joie ma curiosité non dissimulée.
    
    -Mon Dieu, on dirait que tu n’as jamais vu de femme nue.
    
    L’avouerai-je? Je tente une pirouette
    
    -Je n’ai jamais vu de femme nue aussi belle que toi.
    
    La flatterie ne la trompe pas. Elle s’avance, attrape mon slip, me l’enlève et au passage chatouille de ses cheveux les poils de mes jambes
    
    -Voilà, nous sommes à égalité. Hum, tu es beau garçon, tout à fait à mon goût. Et je vois là en bas un outil d’apparence plus que désirable. Approche, je me couche et je vais te montrer ce que tu n’as jamais vu.
    
    Tête au milieu du grand lit circulaire, rayon de ...
    ... soleil de chair, elle appuie ses talons éloignés sur le bord du matelas, ouvre le compas de ses jambes et présente à mes yeux éblouis le secret de sa féminité.
    
    -Regarde.
    
    Elle ferme les yeux, recueillie sur l’offrande qu’elle me fait. Entre les jambes, au bas du ventre, entre deux bourrelets à la peau fine apparaît la fente fermée, comme un trait qui fuit vers les fesses. Elle ose ce que ma pudeur m’interdit encore. Ses doigts se posent sur les lèvres, les désunissent, les ouvrent et découvrent l’intérieur rose humide marqué de deux crêtes parallèles, palpitantes. Ces deux petites lèvres à leur tour, écartées par les doigts, dévoilent une ouverture vers le bas. Au-dessus c’est le méat urinaire et tout en haut se cache le clitoris. Aline expose et commente d’une voix chevrotante. Je lui saurai gré de la simplicité émue avec laquelle elle vient de mettre fin à mon ignorance de l’aspect extérieur de son sexe de femme.
    
    Elle retire ses mains sous ses seins, s’appuie sur ses coudes pour me voir et déclare un peu hésitante.
    
    -Tu peux l’embrasser si tu veux.
    
    C’est si beau, si neuf, si troublant. Je m’agenouille sur le satin du couvre-lit, me penche et dépose un baiser d’adoration sur la vulve refermée. Sur ma tête une main posée me maintient au contact
    
    -N’aie pas peur. Donne un vrai baiser. C’est à toi, ce soir je t'appartiens. C’est comme une bouche, tu peux tout embrasser, tu peux y introduire la langue, fouiller comme pour embrasser une bouche. Mon clitoris adore ...
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