Mes jeux pervers avec Fanny
Datte: 13/04/2021,
Catégories:
Mature,
Hardcore,
Masturbation
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... à cette seconde, ou train de passer sa langue sur la fente d’un gland. En train de se faire sauter dans notre lit ou de se prendre une décharge de sperme sur le bord de la langue. Il m’est arrivé de me branler en songeant à ce genre d’hypothèses, et d’éjaculer en imaginant cette salope qui se foutait à poil devant n’importe qui, dans mon dos.
Certains soirs, je lui téléphonais et elle ne décrochait pas. J’insistais, mais je tombais sur le répondeur.
Les fois où elle décrochait, je m’empressais de lui poser des questions :
« Tu es seule ? »
« Tu as sucé aujourd’hui ? »
« Avec qui étais-tu hier soir, à 21 heures, puis 21 heures 30, puis 22 heures ? Avec qui tu baisais, salope ? »
Si jamais elle me répondait qu’elle était allée au cinéma avec une amie, je lui disais :
« Je ne te crois pas. Tu te faisais sauter. »
Elle me répondait :
« Je te dis que j’étais au cinéma. »
Et je répliquais :
« Non, tu étais en train de te faire sauter. Je veux que tu me dises que tu étais en train de te faire sauter par un mec. Dis-le-moi, Fanny. »
Et elle me le disait :
« J’étais en train de me faire sauter. »
« Par qui ? »
« Par un homme qui m’a abordée dans la rue. »
« De quel âge ? »
« La soixantaine. »
« Vous l’avez où ? »
« Chez nous. Dans notre lit. »
« Il avait un préservatif ? »
« Non. »
« Où est-ce qu’il a éjaculé ? »
« Sur mon anus, après m’avoir prise en levrette. »
« Salope… »
Et alors j’éjaculais, sans lâcher ...
... le téléphone.
Ensuite, je disais à Fanny :
« Tu l’as vraiment fait ? »
Elle répondait :
« Je ne te le dirai pas. »
Ce fut notre nouveau jeu, mais nous n’avons pas cessé pour autant de convier des hommes chez nous à mon retour. Jusqu’à ce que je m’épuise. Jusqu’à ce que le doute et la jalousie se mettent à me dévorer l’esprit. Je me sentais dépossédé. Tantôt je jouissais en imaginant Fanny qui me trompait, tantôt j’en souffrais. J’en vins à la tromper à mon tour, avec des putes, mais ça ne combla pas mon malaise. Alors j’ai fini par lui annoncer que je la quittais. J’ai emménagé dans la ville où je travaillais, et Fanny a gardé notre appartement. On s’est envoyé quelques mails par la suite, mais on ne s’est plus téléphoné. Cette histoire remonte à six ans.
J’ai rencontré une autre femme entre temps, mais les jeux qu’on a partagés étaient moins passionnants que ceux qu’aimait Fanny. On n’est pas restés ensemble bien longtemps. J’en ai rencontré deux autres dans les années qui suivirent, que j’ai de même quittées.
Et ainsi va la vie…
Dernièrement, j’ai recroisé Fanny dans la ville où nous avons vécu. Elle était assise à la terrasse d’un bar en compagnie d’un homme beaucoup plus âgé qu’elle. Le décolleté de sa chemisette blanche était indécent. Elle n’avait pas de soutien-gorge, ça crevait les yeux, et ses tétons étaient à deux doigts de dépasser. Elle portait des lunettes de soleil et une jupe noire extrêmement courte. Elle ne m’a pas vu passer. Je me suis ...