La petite robe rouge - 2- - Histoires de Sexe

La petite robe rouge - 2-

... elle ne le sait pas. Aussi se contente-t-il pendant qu’elle conduit de l’effleurer en douceur avec ses doigts et sa bouche. Elle s’abandonne sans pudeur à cette « inquisition ». Jack ne peut que constater en glissant un doigt entre ses lèvres intimes à quel point elle est excitée.

— Hum, petite coquine. Il va être temps d’arriver sur l’île, on dirait.
— Jack, c’est de ta faute, tu me touches partout et…
— Tu aimes ça ? Avoue.
— (Elle rougit) Oui.
— C’est bien d’être toute nue, non ?
— Oui, je me sens libre. Bien.
— Tu es très jolie, toute nue. Tu vas pouvoir rester comme ça toute la journée.
— Hum, super.
— Comme ça, on va pouvoir jouer… tu veux ?
— Oh Jack, tu es un coquin.
— Mais je pense que tu as besoin d’un coquin.

Marie n’a pas répondu. Un instant l’image de Pierre est passée devant ses yeux. Mais l’instant suivant c’est celle d’un gros 4x4 qui s’éloigne qui la suivit et qui a écrasé l’image de son mari.

— Bon, petit matelot, tu vas laisser la barre au capitaine. On approche de l’île.
— Bien, mon capitaine.
— Va te mettre sur le pont avant. Que je puisse te mater.
— Oh, vilain voyeur.
— Allez, exécution matelot.

Marie s’allonge devant le pare-brise du Riva. Bien entendu, elle a la tête vers l’avant. Elle sait ce que son « capitaine » attend.

— Parfait matelot. Ouvrez un peu plus le compas, que je vois mieux les cibles.
— Oh, Jack.

Elle a protesté cette fois par jeu. À plat ventre, elle écarte ses cuisses encore plus, offrant à Jack une ...

... vision imprenable sur son intimité.

— Hum, petite coquine. Tu as intérêt à courir vite quand on va arriver sur la plage si tu ne veux pas que je t’attrape.
— Mais je cours vite… laisse-moi juste un peu d’avance.
— D’accord, je compterai jusqu’à vingt. Pas plus. Et gare à tes petites fesses.

Marie saute nue sur le ponton et court dans le sable. Jack ne se presse pas. Il attache tranquillement le bateau. Il connaît l’île comme sa poche, et en plus l’île est petite, tout au plus 300 mètres de long sur 100 de large. Il a vu Marie courir vers la droite et ça tombe bien. C’est là que se trouve l’abri. Il marche. Guettant un mouvement. Tel un chasseur. Pas de chance pour Marie, il n’y a pas de vent et donc peu de chance que ce soit lui qui fasse bouger ce petit massif de plantes tropicales. Il s’en approche. Lorsqu’il est à moins de cinq mètres, Marie en jaillit en criant et en riant. Il la prend en chasse. Il finit par la plaquer sur le sable. Il la bloque. Elle se débat.

— Maintenant petite coquine, tu es à moi.

Il est nu sur elle. Il la fixe dans les yeux. Ce regard presque froid stoppe Marie dans son rire. Il est entre ses jambes, entre ses cuisses. Elle ne peut plus les refermer. Elle n’en a pas envie. La seule envie qu’elle a, c’est de se faire prendre par ce mâle dominant. Elle lui lance le même regard trouble que la veille au soir. Elle se cambre pour mieux l’accueillir puis pousse un cri rauque. Il vient de la pénétrer violemment.

Jack va-et-vient sur elle. ...