1. Soumission en vacances 7 - La cave


    Datte: 12/04/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Primaq69, Source: Hds

    ... érection de folie.
    
    - « On va très vite y remédier. »
    
    Elle me saisit par la bite, me fis lever et m’emmena jusqu’à la table. Elle me fit me pencher dessus, mon buste écrasé contre le vieux bois brut, le visage collé contre la table et tourné vers le côté. Elle me fit lever les bras et les tiras au maximum. Puis, elle attacha solidement mes poignets entre eux avec une corde dont elle fixa l’autre extrémité à un pied de la table. Elle se glissa ensuite derrière moi pour attacher mes deux chevilles à deux pieds opposés. J’avais donc les jambes écartées, le cul relevé et ne pouvais pas me déplacer d’un centimètre.
    
    Lorsqu’elle enleva le masque amovible, je vis tout d’abord son shorty, posé juste devant mes yeux. Puis je la vis elle, derrière.
    
    Maîtresse Léa avait enlevé son bustier en dentelle pour revêtir son corset de cuir noir avec filagramme rouge qui mettait en évidence sa poitrine. Son porte-jarretelle avait disparu tout comme ses bas, ne restait que ses grandes bottes en cuir et ses longs gants en latex. Sa marque de fabrique de dominante, sa tresse qui lui retombait entre les seins, était bien évidemment toujours là.
    
    Ce qu’elle avait rajouté de nouveau, c’était son gode-ceinture.
    
    J’avais passé la matinée à me faire torturer le cul par des méthodes bien plus fourbes, mais étonnement la vue de son membre en plastique me fit peur. Elle due le voir car elle se mis à me caresser la tête sous la cagoule.
    
    - « Tu devais bien de douter qu’a un moment ou un ...
    ... autre, j’allais vouloir te prendre… chacun son tour mon chou ;) »
    
    Je me mis à couiner pour attirer son attention.
    
    - « Écoutes-moi bien. Il y a plein d’attaches pour fixer la partie bâillon de ta cagoule. Si je prends le temps de te l’enlever, que je t’autorise à parler et que tu me balances une connerie du genre « pitié maitresse », « pas trop fort s’il vous plait » ou « il est trop gros » non seulement j’augmente le volume, mais je te fouette les couilles à coup de martinet pendant les 10 minutes qui suivent c’est clair ? »
    
    Ah oui, en effet c’est assez clair. Je la mis donc en sourdine, avec un air abattu. Elle due le voir car elle me fit un petit baiser sur les lèvres par-dessus mon bâillon et dit :
    
    - « Ne t’inquiète pas, je connais tes limites mon chou. Tiens une petite récompense. »
    
    Elle récupéra son shorty sur la table et me l’enfila par-dessus ma cagoule. La partie qui recouvrait habituellement l’entrée de son vagin tombant juste devant les 2 trous de mes narines, je respirais sa chatte à chaque inspiration… et c’était divin.
    
    Je tournais la tête comme je pouvais pour la poser en équilibre sur mon menton et je découvris quelque chose que je n’avais pas vu jusque-là : elle avait posé un petit miroir en équilibre sur le bout de la table. Je pouvais donc l’admirer pendant qu’elle me besognait, ce qui eut pour effet quasi immédiat de me rassurer.
    
    - « Mais c’est pas possible t’es inarrêtable ! »
    
    Elle tenait dans sa main ma bite tendue comme la corde d’un ...
«12...456...9»