Soumission en vacances 7 - La cave
Datte: 12/04/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Primaq69, Source: Hds
... amicale de couples de vacancier, je pourrais attaquer sur un rôle de dominant. Mais dans la situation actuelle, c’était impensable.
- « Ça y est, tu as fini par comprendre ?
- Oui maitresse.
- C’est bien, sauf que je t’avais dit de te taire sauf autorisation. Viens jusqu’à moi, à 4 pattes. »
Ce que je fis.
- « Tourne toi ».
Idem.
Et là, je pris une claque sur le cul. Encore chaud de la session ortie, ça me fit tomber vers l’avant.
- « Tu vas arrêter de bouger oui ? »
Puis je pris une deuxième claque, suivi d’une troisième, etc… Je me mis à couiner désespérément pour lui demander d’aller plus doucement, mais elle m’ignorait royalement.
Lorsqu’elle eut fini, j’aurais eu du mal à m’assoir. Mon cul devait être écarlate. Je continuais de couiner, ne sachant pas trop comment m’arrêter.
- « Oui mon toutou ?
- J’ai mal maîtresse…
- Tu aurais dû y penser avant de me voler mon orgasme »
Ce qui était très difficile à gérer dans l’immédiat, c’est que j’étais libre de mes mouvements. L’intérêt du bondage, c’est qu’il m’enlevait le choix. Là, je pouvais clairement partir ou me lever à tout moment. Je choisissais consciemment, à tout instant, d’obéir et de subir pour elle.
- « Bien, je n’avais rien prévu pour cet après-midi donc je vais devoir improviser et avancer mon programme. Suis-moi. »
Elle me remit le collier et la laisse, saisi le sac de sport après avoir récupéré l’ensemble des jouets qui trainaient et me guida à 4 pattes à travers ...
... le jardin. Nous nous orientions vers la maison et je me retrouvais, sans vraiment y croire, à espérer que la suite des évènements nous ramènerait tranquillement au lit.
Je profitais du trajet pour l’admirer. Elle marchait d’un pas ferme, et gardant une position bien droite et donc bien cambrée. J’avais une vue en contre plongée sur son cul de déesse, merveilleusement mis en valeur par le shorty-string qu’elle avait remis avant de quitter notre précédente zone de jeu. Sa tenue, à mi-chemin entre la domina dans son donjon et le top model Victoria’s secret, me faisait fondre.
A ma grande surprise, elle tourna avant d’arriver vers l’entrée de la maison. Elle m’amena plutôt à l’avant de la maison, ce qui s’annonçait compliqué puisque le sol à cet endroit passait d’une pelouse bien duveteuse à un terrain en gravillon. Elle n’avait l’air ni de ralentir, ni de bifurquer. Et comme je l’avais craint, elle continua d’avancer sans ralentir et nous fis passer sur les graviers.
Je me mis à couiner pour lui demander de ralentir mais reçu pour toute réponse un « tu as finis de te plaindre tout le temps oui ? on n’a pas toute la journée ! ».
Heureusement, nous n’allions pas jusqu’à la porte d’entrée principale. Elle bifurqua face à une grosse porte en bois épais auquel je n’avais pas fait attention depuis le début des vacances. Elle l’ouvrit et je découvrais un escalier, sombre, qui s’enfonçait dans la maison : elle m’amenait à la cave. Après avoir allumée la seule ampoule dénudée ...