Chair fraîche 7 Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse
Datte: 11/04/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Accent, Source: Hds
... fille?
- Non, pas particulièrement pourquoi? S’est-il passé quelque chose d’anormal ?
-J’aurais préféré lui laisser le plaisir de raconter la partie scandaleuse de l'événement. Mais son silence m’étonne et je crains qu’Antoine y ait fait allusion cet après-midi.
-Puisque Gina t’avait invitée, tu devrais pouvoir me dire ce qui s’est passé. J’ai remarqué que Gina avait un peu trop bu. Que peux-tu me dire de plus?
-Nous nous sommes bien amusées, avons bu, dansé, ri, c’était une gentille fête. Vers la fin les serveurs ont apporté deux énormes gâteaux de la part de la direction ont-ils dit. C’étaient des bâtis en carton décoré comme des biscuits, ils représentaient des troncs d’arbres aux branches taillées. Un billet indiquait qu’une branche allait pousser et que les participantes devraient la prendre en bouche. Celle qui refuserait devrait boire une coupe de champagne au lieu de sucer le sucre qui enrobait la petite branche. Cela fit beaucoup rire. Les plus hardies réparties en deux groupes s’attaquèrent aux deux branches. Elles revenaient pliées en deux de rire. En fin de colonne, Gina découvrit que la branche nettoyée du sucre était un pénis maintenant bien enflé. Elle trouva le jeu stupide et préféra descendre une coupe de champagne.
Le jeu dura et après quelques coupes supplémentaires, encouragée par ses copines Gina se soumit au rituel et suça la vivante sucette. L’alcool avait eu raison de sa volonté. Alors les troncs d’arbres se fendirent en deux et deux ...
... hommes nus mais masqués en sortirent. Ils étaient deux au milieu de dix filles. Qui refuserait de danser devrait sous la pression du groupe boire une coupe par refus.
Gina refusa la première invitation, dut boire encore, mais savait-elle qu’elle était au-delà de ce qu’elle pouvait supporter? Le deuxième se présenta, elle ingurgita une nouvelle coupe. La règle changea: chaque refus serait sanctionné de la perte d’une partie de vêtement. Les filles échauffées applaudirent, moi aussi. La première nudité apparut, Gina fut nue aussitôt après et la règle l’obligea à danser nue contre les hommes nus à la verge menaçante. Après cette bacchanale, la table débarrassée finit par servir à deux accouplements.
N’ayant plus de vêtement à perdre Gina dut consommer encore une coupe. J’aurais dû intervenir, mais moi aussi j’étais ramollie par l’alcool et l’ambiance. Quand l’un des deux gaillards la pencha sur la table pour la prendre par derrière, Gina pleura, mais sans avoir la force de résister. Ses copines se mirent à applaudir au lieu de voler à son secours. Le type se mit à l’ouvrage. D’une main il la maintenait penchée, seins aplatis sur la table, de l’autre il écartait ses jambes, poussait des pieds ceux de Gina pour ouvrir l’angle des cuisses.
Les filles criaient
- Vive la mariée, vive la mariée. Allez vas-y, exerce-la, apprends-lui!
Une sorte de folie collective s’était emparée du groupe. Le deuxième compère, assis sur la table se glissa sous Gina, prit sa tête à deux ...