Deux maîtresses femmes
Datte: 11/04/2021,
Catégories:
ff,
ffh,
hsoumis,
fdomine,
Oral
hdanus,
coprolalie,
init,
Auteur: Eurydice Jenkins, Source: Revebebe
... l’ordre de m’étendre au-dessus de son amie. Un missionnaire des familles.
— Mais ne la pénètre pas encore ! fit-elle à mon oreille, dans un souffle. Frotte juste ton gland sur l’entrée, qu’elle te sente.
J’obéis. Je me tenais sur les coudes et délicatement je passai le bout de ma queue sur la fente entrouverte. Lorsque le gland heurtait le bouton de plaisir de Virginie, elle avait un petit gémissement. Alors je redescendais et, d’un léger mouvement de reins, je faisais semblant de rechercher l’entrée de la grotte. Une légère pression, comme si j’allais la pénétrer, mais je repartais à l’aventure, lui arrachant un petit gémissement de frustration.
Je sentis bientôt qu’Émilie se plaçait au-dessus de moi. Je percevais son ventre, ses seins sur mon dos, mais elle retenait tout son poids sur ses pieds et ses mains. J’aurais pu la supporter sans difficulté, mais je n’aurais pu, alors, guider mon sexe dans les méandres de celui de la femme couchée sous moi.
— Vas-y, pénètre-la. Un tout petit peu.
Un ordre bien agréable… Mon sexe n’eut aucun mal à entrer dans le canal resserré, chaud et humide.
— Tu y es ?
J’acquiesçai d’un mouvement de tête. J’avais arrêté de me mouvoir.
À voix haute, Émilie s’adressa alors à Virginie :
— Tu voulais mon mari, pas vrai ?
— Oui. J’avais envie de lui. Comme de toi. Mais moins que de toi…
— Mais tu voulais quand même que mon mari (elle appuyait sur « mon) te baise ?
— Oui, oh oui. Qu’il me baise bien profond, bien fort…
— ...
... Comme quoi ?
— Comme une chienne…
— Quoi d’autre ?
— Comme… comme une…
— Allez, dis-le !
Les gémissements de Virginie se faisaient plus intenses : malgré mes efforts pour ne pas bouger, je sentais bien que ma queue la pénétrait de plus en plus, car elle s’élargissait, s’offrait, excitée par les mots prononcés par ma femme. Elle m’absorbait…
— Comme une pute, allez, dis-le !
Virginie eut un cri
— Oui, comme une pute, comme une putain, je veux me faire baiser, vas-y, enfile-moi ta queue à fond… Écarte-moi les parois du con, éclate-moi la chatte, ouvre-moi en deux !
Je ne pouvais rester impassible devant ces débordements de mots entre les deux femmes. L’excitation montait en moi de plus en plus, et, Émilie le savait, cela se traduisait par une augmentation de la largeur de ma queue quelques instants avant l’éjaculation. Ma femme aimait ce moment où mon sexe gonflait en elle et je suppose qu’elle voulait en faire profiter son amie…
— Tu n’es qu’une pute et je vais te baiser comme tu le mérites… lança encore mon épouse avec une voix dure.
Elle se laissa tomber sur moi de tout son poids.
Je ne m’y attendais pas. Donc je me laissai aller. Et bien entendu mon sexe pénétra celui de Virginie. Jusqu’au fond. Celle-ci eut un cri, mélange de surprise, de plaisir… et d’autre chose.
— Es-tu bien au fond ? me demanda Émilie
— Non, pas encore.
— Alors relève-lui les jambes ! Et remplis-la !
Émilie s’était retirée de mon dos. Je fis ce qu’elle me demandait ...