1. Branlette normande


    Datte: 11/04/2021, Catégories: Gay Masturbation Première fois Auteur: Hollywood77, Source: xHamster

    Quand on est un gamin qui commence à ressentir quelques frissons dans le bas ventre, et qu’on est surtout un gamin « normal », les choses du sexe deviennent vite une obsession. C’est la nature. Et on cherche plus ou moins à vivre ses premières expériences avec les copains. Cela aussi, c’est normal. D’autres franchissent la ligne et cèdent aux avances de certains adultes qu’ils rencontrent, un jour, au coin d’un bois. Je me suis moi-même trouvé, un jour avec un copain, face à face avec un « vieux » qui nous a montré sa grosse bite molle en nous demandant : « Elle est belle, hein ? ». On n’en voulait pas de sa queue. Elle était monstrueuse et grise. Mais cet épisode avait tout de même jeté le trouble dans mon esprit...
    
    Je me souviens de vacances en Normandie, chez une famille d’agriculteurs amis de mes parents. J’y allais faire la moisson, garder les vaches, etc. C’était le bon temps où les fermes avaient encore taille humaine. Cette année-là, j’avais eu mes premières éjaculations nocturnes. J’avais 13 ans et, un soir, dans mon lit, en me caressant la bite (j’avais vu faire des copains de colo l’été précédent), celle-ci se mit soudain à être prise spasmes qui me parurent effrayantes au début. Je m’étais arrêté de me branler mais c’était comme si ma bite se branlait toute seule à présent ou qu’une main invisible poursuivait les caresses ! C’étaient délicieux mais terriblement surprenant. Et puis, je me suis retrouvé avec la main pleine d’un liquide chaud et poisseux et un ...
    ... sentiment de bien-être fabuleux ! Inutile de dire que je n’ai pas arrêté de me branler les soir suivants et à faire des cartes de France sur mon drap. Ma mère, un matin, en me demandant de monter dans ma chambre changer mes draps, y a fait une allusion discrète... En fait, je la soupçonne d’avoir été surtout un peu fière de voir son fils devenir un petit homme...
    
    En vacances, donc, chez nos amis normands, je ne participais pas toujours aux travaux des champs même si cela me plaisait. Je pouvais conduire le tracteur, c’était chouette ! J’avais aussi beaucoup de temps libre et j’avais lié amitié avec Eric, le fils d’un fermier voisin, un garçon qui ressemblait davantage à un garçon de la ville plutôt qu’au fils d’un fermier : sympa, racé...
    
    Quand il venait me retrouver, on allait s’asseoir en haut d’une meule de paille ou ans la grange et cela ne manquait jamais, il demandait rituellement :
    
    - Qu’est-ce qu’on branle ?
    
    Moi, je savais ce que j’aurais bien branlé, alors, un jour, j’ai proposé :
    
    - Ben on peut se branler, non ?
    
    Eric a paru surpris mais pas choqué. Sans doute n’attendait-il que cela mais peut-être s’était-il imaginé que ce serait plus difficile que prévu :
    
    - D’ac, il me répond.
    
    Et, sur ces mots, ni une, ni deux, il déboutonne la braguette de son short et extirpe sa quéquette de son slip. Un quéquette assez moyenne mais jolie et déjà toute tendue. Il me dit :
    
    - Touche la !
    
    - Ouais, j’veux bien mais tu veux pas voir la mienne ?
    
    J’en ...
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