1. Ma nuit de noces avec ma belle-mère. (Suite 2)


    Datte: 10/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... sommes levés et avons bu avec eux. Je n’avais pris que la boisson dans le verre que Sophie me servit, il n’y avait pas d’alcool, c’était un Perrier mais dans sa main ouverte, je m’aperçus qu’elle me donnait une petite pilule bleue. Il ne m’avait pas fallu longtemps pour comprendre que ma belle-mère voulait que je la satisfasse de nouveau afin qu’elle puisse, elle aussi, avoir sa nuit de noces.
    
    Il était quatre heures du matin, lorsque les invités étaient tous repartis. Lili était déjà plongée dans ses rêves, Sophie était dans sa chambre et m’attendait avec impatience. Je me suis levé pour aller uriner et en revenant, je me suis trompé de chambre volontairement. Je venais de pénétrer dans la chambre de ma belle-mère. J’avais une trique qui se voyait à travers du mince tissu de mon slip :
    
    —Je vois que tu vas bientôt être prêt mon petit poussin. Viens !
    
    Sophie avait tenu à m’écartelé sur le lit, j’étais menotté de mes quatre membres, nu comme un vers sur son lit, ma verge à la verticale tel le mat principal d’un navire pointant vers le ciel. Pas une seule partie de mon corps n’avait échappé à ses caresses et à sa langue, elle désirait me faire que du bien cette nuit-là. De ma bouche, à mes pieds en ...
    ... passant par mes tétons, mon nombril, mes aisselles, mes yeux et encore ma bouche, je rugissais de plaisir, ma queue ni était pas passé, ce liquide transparent qu’elle adorait voir sortir de mon gland, s’écoulait doucement sur ma hampe, elle le léchait goulument. Je n’en pouvais plus, Sophie s’en aperçut et voulait, elle aussi prendre du plaisir, elle s’était positionné un genou de chaque côté de mes cuisses et s’enfonça lentement sur ma grosse queue qui ne demandait qu’à être aspirée. Les contractions de son vagin qui enserrait fortement mon pénis et ses montées et descentes de plus en plus rapides firent qu’elle éjacula son plaisir en m’inondant le bas ventre, elle n’avait pas crié de peur de réveiller sa fille mais elle continuait, elle voulait que je jouisse à mon tour. Je crois que je n’avais jamais été aussi dur, aussi longtemps. Sophie s’était retirée et vint poser sa bouche sur mon gland violacé, après l’avoir pris dans sa main, elle reçut en plein visage une série de giclées blanchâtres, elle souriait, heureuse d’avoir pu partager son lit à ma vraie nuit de noces. Sophie que j’adore de plus en plus était bien la salope qu’il me fallait. Depuis ce jour, je suis devenu accroc de sexe avec ma belle-mère. 
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