1. Une nouvelle vie pour Marion


    Datte: 10/04/2021, Catégories: f, fh, couple, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, Oral prememois, Auteur: John, Source: Revebebe

    ... hasard, sans le vouloir, effleuré son clitoris avec le tuyau du pommeau de douche. Ressentant un frisson et un sentiment de bien-être, elle répéta ce geste quatre ou cinq fois, ce qui eut pour but d’iriser son corps et de lui faire vivre son premier orgasme clitoridien. Consciente qu’il s’agissait là d’un plaisir de la chair, elle ne répéta pas de sitôt ce dernier.
    
    Marion ne pouvait faire autrement que de soulager cette excitation qui salissait sa culotte. Elle alla donc dans la petite dépendance rénovée mise à disposition par les Dubourg pour la loger, située à quelques mètres à peine de la maison familiale. Allongée sur son lit, elle déboutonna le bouton de son jean, fit descendre la fermeture éclair et écarta le tissu de sa culotte comme pour reproduire la fente du string de madame Dubourg. Effleurer son clitoris lui procurait un plaisir certain, mais elle avait envie de sentir ses doigts glisser dans son sexe. Alors que son index et son majeur se frayaient très facilement un chemin jusqu’aux dernières phalanges, Marion ferma les yeux et imagina ce sexe la posséder, la remplir comme celui de François farcissait le sexe de Laurence dans ses pensées dans la salle de bain.
    
    Instinctivement, Marion positionna son pouce en position afin que celui-ci presse son clitoris à chaque va-et-vient de ses doigts. L’effet fut immédiat et au bout de deux effleurements, Marion jouit, animée par des soubresauts, des secousses qui la firent frissonner, la crispa dans un état ...
    ... extatique. Extatique, mais toujours aussi coupable. Marion ne prit pas le temps de profiter de ce plaisir qu’elle estima très vite coupable. Marion venait une fois de plus de violer sa propre chasteté. Elle changea de culotte, se lava les mains, ne pouvant s’empêcher de trouver ses pensées, ce geste, blâmable.
    
    La troisième et dernière tâche consistait à appeler des gens. Il s’agissait d’un couple d’amis de monsieur et madame Dubourg, les Baron.
    
    Marion, logée chez Laurence et François devait quand même gagner un peu d’argent afin de participer à l’effort consenti par ses parents de la laisser partir faire ses études, et aux Dubourg, de la loger. À son âge, le baby-sitting s’imposait.
    
    Madame Dubourg avait immédiatement pensé à Marion lorsque Myriam Baron lui avait dit qu’elle cherchait quelqu’un pour garder sa fille lors de leurs sorties. Ils en avaient notamment une la semaine suivante et Laurence avait recommandé Marion.
    
    — Allo ? !
    — Bonjour, Madame. Je suis bien chez monsieur et madame Baron ?
    — Oui.
    — Bonjour madame Baron, je suis Marion Lacombe je vo…
    — Ah ! Oui ! Marion. Je suis contente de ton appel. Alors Laurence t’a parlé de nous ? Oui, on aimerait savoir si tu pouvais garder notre fille Inès jeudi soir, la semaine prochaine.
    — Oui, Madame, je peux.
    — On peut se voir avant peut-être pour que tu voies la maison que tu rencontres Inès avant ? Tu peux venir là ?
    
    Madame Baron avait une voix et une manière de parler qui ne concordait pas avec le cadre des ...
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