Retrouvailles
Datte: 09/05/2018,
Catégories:
fhh,
copains,
douche,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
couple+h,
Auteur: Verdu, Source: Revebebe
... ronronner de plus en plus fort. L’eau tiède de la douche continue de couler sur nous et nous partageons à nouveau un moment de plaisir partagé.
Soufflant nous finissons de nous doucher et nous essuyons les uns les autres, en insistant sur certaines parties de notre anatomie, mais exténués par deux orgasmes successifs, nous n’insistons pas.
Lorsque nous sortons de la salle de bain, Laurent se dirige vers sa chambre. Je l’interpelle.
— Viens dormir avec nous. Avec ce que nous venons de vivre, tu ne vas pas passer la nuit seul. Et le lit est assez grand pour trois.
Il sourit et nous suit. Nous nous couchons nus, Léa entre nous. Elle pose sa tête sur ma poitrine et comme à son habitude, sa main vient se poser sur mon sexe. Dans son dos, Laurent glisse une main sous Léa et la pose sur son ventre tandis que l’autre vient se poser sur sa hanche à côté de la mienne.
Nous nous endormons épuisés.
Je dors d’un sommeil tranquille et quand j’entrouvre les yeux, Léa me tourne le dos, je ne peux résister à l’envie de la câliner. Elle se réveille et se tourne vers moi, pose sa tête sur mon torse. Je la caresse tendrement, Laurent dort profondément à côté de nous. Elle se glisse sur moi, et je sens qu’elle cherche à ce que mon érection matinale la pénètre. Je la laisse gérer la pénétration en lui caressant la poitrine. Elle me chevauche doucement en silence, je la sens se crisper sur mon ventre et au moment où elle jouit en silence, j’inonde son puits d’amour de mon ...
... nectar. Elle récupère allongée sur moi. Sa respiration se calme doucement. Elle m’embrasse et se lève pour aller se doucher avant de préparer pour aller prendre sa classe.
Je reste allongé songeur repensant à ces dernières heures. Avec Léa nous n’avons jamais été avares de câlins et de sexe, mais nous n’avions jamais atteint cette intensité. Et surtout, même si Léa m’avait parlé de son fantasme de faire l’amour avec deux hommes, je ne pensais pas que celui-ci se réaliserait de cette manière avec notre copain d’enfance. Je vois alors Laurent se tourner vers moi, souriant.
— Quelle santé, cette Léa !
Je comprends qu’il a assisté à nos ébats matinaux, mais à ma surprise, cela ne me gêne pas.
— Il va falloir se lever aussi, si nous ne voulons pas être en retard pour la voiture.
Ensemble, nous nous levons et enfilons caleçons et t-shirt pour aller prendre un café dans la cuisine où Léa nous rejoint après sa douche. Elle arrive en robe et vient me poser sur les lèvres et se penche vers Laurent assis sur chaise pour l’embrasser longuement. Je vois la main de Laurent se glisser sous la robe et caresser les fesses.
Elle se relève, les yeux mutins.
— Petit coquin.
Elle avale son café et prend sa veste pour partir.
— Je vais être en retard. Amusez-vous bien avec la Panhard !
Je me lève pour l’accompagner à la porte. Et nous nous embrassons comme tous les matins. Lorsque je reviens à la cuisine, Laurent a fini son café et range la table.
— Elle n’a pas changé. ...