1. Photos de famille (6)


    Datte: 10/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory

    ... léchait à grandes lapées la rondelle qu’il enduisait de salive.
    
    ─ Ça ne te dégoûte pas ? interrogea Gwenaëlle.
    
    ─ Si j’avais eu le moindre soupçon sur ton hygiène, je me serais contenté de t’inonder la raie de crème.
    
    ─ Alors, je t’en prie, continue ; tu me fais un bien fou. Si j’avais su… j’aurais venu, plus tôt !
    
    Anton répondit à son injonction et s’appliqua au bonheur de sa sœur. S’il faisait trop bien, il risquait de la voir revenir à la charge les jours suivants. Tant pis, il ne pouvait concevoir de bâcler le travail.
    
    Tout en continuant d’assouplir le seigneur des anneaux de sa langue, Anton glissa une main entre les cuisses de sa sœur et introduisit le pouce entre les lèvres tandis que, de ses autres doigts, il frictionnait le clitoris. Gwenaëlle poussa un long soupir de plaisir.
    
    ─ Homme, sweet homme, plaisanta-t-elle. Il manque une paire de mains pour me passer le dos…
    
    ─ Tu veux que j’aille réveiller Sabrina ?
    
    ─ Arrête tes conneries, je n’ai pas envie quelle sache que tu me bouffes le cul.
    
    ─ Je te rassure : je plaisante. Je n’ai pas envie non plus qu’elle soit au courant. Alors j’espère que tu ne rameuteras pas toute la maison en jouissant à tue-tête.
    
    ─ Dis donc, frangin, je sais me tenir ! Mais si tu es capable de me donner un orgasme au-delà de huit sur l’échelle de Richter, ne te gêne pas : je mordrai ton polochon.
    
    Sans rien dire, Anton accepta le défi. Il posa ses mains sur l’intérieur des cuisses de sa sœur, lui écartant au ...
    ... maximum les jambes de sorte qu’il pouvait la lécher du clitoris à la rondelle d’un même coup de langue. À chaque fois, Gwenaëlle serrait le drap dans ses poings.
    
    Elle n’arriva pas à calculer depuis combien de temps il lui faisait subir ce traitement, mais cela aurait bien pu continuer durant des heures qu’elle ne s’en serait pas plainte. Décidément, dans cette famille on était doué pour les langues ! Elle se mit à imaginer son frère lors de ses périples internationaux. Il avait dû multiplier les conquêtes, foutu comme il l’était, et comme les marins qui ont soi-disant une femme dans chaque port, il avait engrangé de l’expérience. Elle avait de la chance de pouvoir en profiter en son tour.
    
    Elle sentit un liquide couler sur sa rondelle ; ce devait être de la salive car il n’y en avait pas assez pour que ce soit de la crème pour les mains. Puis un doigt s’immisça entre les replis de son œillet. Un majeur progressait lentement, prenait son temps. Le geste était pourtant ferme ; elle sentait les phalanges qui tournaient dans son petit trou, dilatant avec délicatesse le muscle peu habitué à ces manœuvres. En même temps que le doigt s’enfonçait, il tournait. Elle n’avait qu’une envie : se sentir ouverte, offerte à son frère, mais il ne fallait pas griller les étapes : elle s’abandonna donc à l’expertise d’Anton. Le doigt ressortit pour revenir aussitôt, accompagné de l’index. Oh, que la tournure des doigts et des événements lui plaisait !
    
    Et voilà qu’arriva l’instant fatidique. ...
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