Sur le GR 20 : randonnée en mauvaise compagnie (5)
Datte: 09/04/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: Mir, Source: Xstory
... t’es trop bonne. » Je ne peux plus parler, juste gémir le moins fort possible. Il finit par jouir longuement en murmurant « c’est comme ça que je rêve de t’enculer, depuis longtemps… » Le sentir gicler en moi et me dire ça me fait jouir à mon tour, en étouffant mes cris.
Nous restâmes un bon moment dans cette position. Rémi finit par rouler sur le côté et me serrer dans ses bras. Je serrai les jambes pour empêcher le foutre de dégouliner sur les duvets.
- Si ce soir ça se passe comme ça, pense à bien respirer, profondément. Une expiration à chaque fois qu’il entre en toi : au moment de l’expiration, le corps se détend.
- Je… Merci Rémi… Mais on avait dit qu’on le ferait plus, que c’était pas bien…
- Chut, ma puce, chut... Ce n’est pas une situation normale. Le seul truc pas bien ici, c’est ce que ces deux connards te font, pas ce qu’on fait, nous, pour que tu tiennes le coup.
Nous passons l’heure suivante à nous embrasser, nous caresser doucement, nous masturber mutuellement sans aller jusqu’à l’orgasme. Je le prends même un peu dans la bouche, à moitié bandé, le léchant et le suçant doucement : j’aime vraiment retrouver ce vieux souvenir du lycée… un goût du passé… c’est rassurant… Au moins, avec la tente, pas de risque que les autres nous voient.
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Le jour complètement levé, nous nous préparâmes tous les quatre. Toujours la même routine, jusqu’au départ.
Journée. Rando. L’étape entre Usciolu et Prati ...
... était assez technique : une ligne de crête à suivre, rendue délicate par la pluie de la veille. La concentration nécessaire me faisait un peu oublier tout le reste. Je me centrai sur la randonnée, profitant du paysage changeant.
Soir. Nous arrivons au refuge de Prati, tout en pierres, dans une plaine. Nous installons les tentes (le temps est meilleur que la veille, mais cela semble naturel, en voyant les tentes des Allemands déjà prêtes. Et il fait plus froid, nous sommes à 1800m d’altitude).
Repas. Allemands. Regard au téléphone : Fred avait raison, il y a du réseau…
Les Allemands vont se coucher. J’essaie de suivre le mouvement, Fred me retient en m’attrapant amicalement par les épaules.
- Hey, les berlinois, on va faire une petite balade tous les quatre avant de dormir ! Ca vous dit ?
Bien sûr, ils refusent. Merde. Tous les quatre. On en avait discuté avec Rémi : il pourrait expliquer, en gros, la situation aux Allemands pendant que je partais avec Fred et Thomas, pour que les autres l’aide à maîtriser nos deux salauds et récupèrent le téléphone. Raté. Les Allemands nous font de grands saluts quand nous partons et me font des clins d’yeux appuyés. Allez savoir pourquoi.
Fred me prit par la taille, accélérant le pas.
- Allez, il faut marcher un peu pour atteindre un coin tranquille, on accélère, on accélère !
Il nous faisait presque courir. Nous commencions à être vraiment loin, on ne voyait plus les lumières du refuge : nous étions bien éloignés, dans ...