Domination de Madame et Monsieur 10
Datte: 09/04/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Maître Cocufieur, Source: Hds
... Marocain jouissait de ce moment de domination sexuelle où la femme n'avait plus aucune résistance à la vue de l'arme fatale, ce puissant zob à la force décuplée qu'elle adorait comme un Dieu ! Le regard de Lucie ne quittait plus cette magnifique chose ! Elle semblait hypnotisée; un liquide abondant coulait de sa vulve qui semblait désespérément vide.
L'intellectuelle féministe se refusait à accepter cette réalité qui s'imposait à elle. Non, c'est un jeu pour animaux, pour gens primaires ! Elle est plus forte que ces tendances bestiales ! Mais tout en elle, au plus profond d'elle, appelait ce sexe du Marocain qui s'offrait à sa vue.
Le colonel avait sorti un martinet du fond d'une vieille armoire et l'utilisait pour cingler les belles fesses de Mélissa qui ne voulait plus lâcher le zob dégoulinant de sa salive. Les autres gardiens baiseurs continuaient de baiser les lopettes. Lucie était subjuguée par leur force : " le mâle est plus fort que la femelle..."
Son regard revint à la verge conquérante du Marocain et, sans faire attention, elle se retrouva en train de parcourir ses parties intimes avec ses doigts. Le Marocain remarqua le manège. Très vite, il se détourna de Mélissa et appuya sur la nuque de Lucie pour la faire s'agenouiller et lui présenta son vit bien levé, presque à la verticale. Elle glissa un timide "non" mais se tut, vaincue, n'ayant plus aucune résistance face au mâle conquérant. Le Marocain lui tapota le visage avec son sexe. Doucement, puis de plus ...
... en plus vite. De plus en plus fort. Elle tenta de happer le sexe, ouvrant ses lèvres et les avançant vers le zob, mais ce dernier bougeait très vite et lui échappait. Le colonel délaissa Mélissa et vint près de Lucie qu'il fit asseoir sur ses genoux. La féministe n'imposait aucune résistance. Sous le joug du sexe marocain, elle était à demi consciente, les yeux fermés et ronronnant comme un chat.
Le Marocain célébrait sa victoire par des cris : "salope ! Grosse pute! Tu la jouais inaccessible, hautaine, intellectuelle au-dessus de nos basses besognes bestiales ! Allez, ouvre ta gueule et absorbe le vit ! Ce sera ta raison de vivre ! Vite, Mets-le dans ta bouche !"
Lucie n'avait jamais été traitée de la sorte. Elle éprouvait un nouveau plaisir inconnu. Elle tremblait même et en redemandait. Voilà ce qu'il lui fallait ! Enfin ! Subir la loi d'un vrai mâle, rouler à ses pieds, se faire humilier par lui, subir les assauts de son sexe ! Voilà le vrai bonheur. Elle arriva enfin à happer l'engin. Assoiffée de tels plaisirs dont elle fut longtemps privée, elle se saisit de la tige et la suça, l'embrassa, la sortit pour mieux l'admirer, se frappa le visage avec... Le colonel avait fourré trois doigts dans la vulve de Lucie qui couinait très fort !
Conquérant, le Marocain fit lever Lucie qu'il gifla en lui disant qu'elle était moins que rien. "Oui mon maître. Une moins que rien!" Elle apprit à respecter le mâle et à adorer sa brutalité, vénérer son côté voyou ! Elle tremblait ...