Telle est prise qui voulait prendre - Histoires de Sexe

Telle est prise qui voulait prendre

... goûter sur la terrasse pour profiter de cette belle journée d’automne. La météo annonce beaucoup de soleil et une température de 28°C à l’ombre.

La terrasse de Line est accueillante et bien agencée. Elle dépasse vraisemblablement les 100 m² avec des arbustes et des bacs à fleurs qui la cachent des voisins. Il n’y a aucun vis-à-vis, un paradis pour s’y promener nu ou faire du bronzage intégral. J’imagine d’ailleurs Line dévêtue étendue sur le transat installé dans un angle avec le soleil comme visiteur. Hormis ce délire cérébral, la terrasse est aménagée d’une table ronde en fer forgée de 1,20 m de diamètre, qui se trouve sous une tonnelle arrondie en fer forgé blanc autour de laquelle grimpent des volubilis en fleurs. Le long du mur, il y a une balancelle avec des coussins moelleux et perpendiculairement, un canapé en tissu de deux places, une table basse et deux fauteuils confortables. Avec Maryse, nous prenons place sur le canapé tandis que Line se réserve un fauteuil face à nous. Elle n’est pas la femme qui pense pudiquement à serrer les jambes si bien que je peux mater sous sa jupe mais le contre-jour ne me révèle rien de son anatomie profonde ; j’ai juste une vue sur la lisière de ses bas noirs.

— Sans te commander Michel, peux-tu aller chercher le plateau qui se trouve sur la table de cuisine. Tu trouveras aussi du champagne au frais dans le réfrigérateur.
— Oui ! Bien-sûr chère amie, si je reste vêtu, je peux faire le service.

Au moins, il est clair qu’elle ...

... ne doit pas abuser de moi. À la cuisine, tout est prêt ; j’en profite pour épier quelques indices insolites ou coquins. Rien a priori, sauf que dans le frigo à côté du champagne, il y a une boîte de suppositoires à la glycérine. Line serait-elle une femme constipée ? Je fantasme déjà sur un scénario possible. Je reviens sur la terrasse pour un premier voyage avec les assiettes, les couverts, les serviettes et le gâteau. Je me réserve le champagne et les flûtes pour un autre tour.

— Premier service, mesdames ! Le liquide va arriver après.
— As-tu vu où est le champagne ?
— Oui ! Pas de problème, à côté des suppositoires ; dois-je les amener aussi ?
— Non pas ! Ce ne serait pourtant pas un mal, cela fait trois jours que je ne suis pas allée aux toilettes. La constipation, c’est mon gros problème.
— Ce doit être typiquement féminin, ajoute Maryse, c’est aussi mon point faible.
— Où sont les bons lavements de jadis !

Je retourne à la cuisine pour finir mon service et je profite de cette opportunité pour mettre la boîte de suppositoires sur le plateau et je reviens vers ces dames.

— Voilà, c’est le docteur, dis-je en revenant. Qui en veut de mes suppositoires à la glycérine ?
— Oh ! Non Michel, pas maintenant.
— Taratata ! il ne faut pas restée comme cela sans aller à la selle. La semaine dernière, tu t’es servie de moi, cette semaine tu vas être servie avec moi. Allez ! pas de manières, relève ta jupe que j’envoie la fusée dans la lune.
— Je crois que tu n’as pas ...