Telle est prise qui voulait prendre - Histoires de Sexe

Telle est prise qui voulait prendre

... s’occupe de mon corps.
— Tu es une bonne patiente Line.

Sur ces entrefaites, Maryse est revenue avec un rasoir dans lequel on insère une lame fine et plate type Gilette, ainsi qu’un blaireau mais il manque la mousse à raser.

— Je n’ai rien trouvé d’autre, dit-elle.
— Oh ! cela ne m’étonne pas. Depuis le décès de mon mari, je n’ai plus eu d’homme à coucher à la maison et ce rasoir c’était le sien. J’ai jeté depuis longtemps le flacon de mousse à raser.
— Tant pis pour toi, ce sera rasage à sec, pire qu’à l’ancienne ! Mais dis-moi, je suis étonné que tu n’aies pas eu d’hommes ici ? La caverne d’Ali Baba te trahit, ma pauvre Line !
— Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire ; des hommes j’en ai eu, mais seulement pour la bagatelle ou pour jouer avec eux en réalisant leurs fantasmes, pas pour s’amuser avec mon corps, d’ailleurs, je te l’ai dit tout à l’heure : « Pour une fois que l’on s’occupe de mon corps »…
— C’est vrai et j’en suis ravi, je vais donc maintenant te raser ; reste surtout bien détendue.
— En as-tu seulement l’habitude ? En homme moderne, je pense que tu utilises un rasoir électrique ?
— Demande à Maryse si je n’en ai pas l’habitude ?
— Tu es aussi rasée ma chérie, tu m’as caché cela ?
— C’est vrai, mais ne me demande pas de te le montrer. D’ailleurs j’ai bien d’autres atouts sexuels depuis que je fréquente Michel mais pas celui d’être lesbienne.
— Je respecte ton grand âge, ma chérie, mais je te rappelle qu’il n’y a pas de mal à se faire du bien !
— ...

... Je suis totalement d’accord avec toi mais pas tout d’un coup t’ai-je déjà dit et aujourd’hui, c’est toi l’actrice vedette.
— Et quelle vedette !

Pendant ce temps, j’ai commencé mon travail de coiffeur, d’abord la vulve qui est maintenant totalement dépoilée. Je me recule pour admirer mon œuvre et je dois bien reconnaître que c’est plus beau ainsi, Maryse est aussi de mon avis. Je pense que si ce n’était pas la première fois que je rasais cette femme, j’aurais laissé le pubis poilu avec seulement un rafraîchissement les poils aux ciseaux, mais aujourd’hui je veux tout, je veux rendre imberbe cette femme, pour la beauté de la petite fille innocente qu’elle a été jadis.

Pour ne pas rester inactive, sur mes conseils et pour occuper Line, Maryse fait boire à notre otage de l’eau en quantité plus que respectable puisque c’est une bouteille d’un litre et demi qu’elle avale le temps du rasage afin de se remplir la vessie en excitant ses sens. Pour accroître la rapidité de réaction, elle termine ce breuvage par deux cafés et enfin une canette de bière de 33 cl, comme cela, elle ne devrait pas tarder à vouloir pisser.

En plus des coliques intestinales, voilà maintenant l’estomac qui gargouille !

∞∞∞∞∞

Un quart d’heure plus tard, Maryse se tortille dur dans ses liens et je m’inquiète de son sort :

— Tu tiens encore le coup ?
— Ce qui est le plus pénible, c’est l’envie pressante de pisser. C’est plus dur de retenir mon urine que l’eau qui veut s’expulser de mon ventre, ...