Telle est prise qui voulait prendre - Histoires de Sexe

Telle est prise qui voulait prendre

... décor et le tableau ?
— Pour le décor, je peux répondre qu’il est beau et attrayant, quant au tableau je ne doute pas qu’il te convienne puisque tu l’as conçu toi-même. Et toi Maryse qu’en dis-tu ?
— C’est une belle immobilisation, très excitante et très facile pour donner un lavement. Les seins lourds sont bien mis en valeur, la chatte est largement ouverte et le cul bien dégagé. J’attends la suite avec impatience car le but recherché n’est toujours pas atteint et si tu m’autorises à apporter une touche de frivolité à ton œuvre, je trouve qu’il faudrait raser cette forêt de poils surtout sur la vulve. Ils forment une touffe grisâtre inélégante comparée à ceux plus harmonieux du pubis.
— Parfois, je coupe les poils du pubis avec des ciseaux dit Line, mais ce n’est pas facile entre les jambes et un rasoir me ferait peur même devant la glace. Quant aux crèmes dépilatoires je n’ai pas confiance.
— Je vois, il va falloir que je mette mon habit de coiffeur pour dame, mais pas de suite car comme dit Maryse, l’objectif principal reste à atteindre.
— S’il-te-plait Maryse, peux-tu me remplir le bock avec de l’eau chaude vers 40°C pour plus de confort et de sensations lors de la pénétration.
— Combien en veux-tu ?
— Commençons par un litre, ensuite nous verrons !

Pendant que Maryse s’enquiert du liquide, je passe la main sur la vulve de Line, dégage au maximum les grandes lèvres et tire sur les petites lèvres. Je décalotte le clitoris très proéminant et il me vient l’idée de ...

... mettre en place une seringue à succion pour aspirer ce bouton du plaisir. Line en a probablement oublié les bienfaits à cet endroit. C’est une simple seringue médicale en plastique de 15 ml dont le côté aiguille est coupé. Le piston est toujours présent pour faire le vide. Je l’humidifie avec un peu de salive, l’applique sur le clitoris en appuyant pour assurer l’étanchéité et je tire sur le piston. Elle tient toute seule et le clitoris grossissant, pénètre dans le tube. Comme le plastique est transparent, le spectacle est assuré.

— Que fais-tu, je sens mon clitoris tiré vers l’extérieur ?
— Est-ce agréable ?
— Oh oui ! C’est comme un plaisir latent qui en demande plus.
— Patience, cela va venir !

Maryse revient avec le bock rempli d’eau chaude que je suspends en hauteur à environ 50 cm au-dessus de nos têtes. Je titille la rondelle anale de Line pour tester l’humidification. Les suppositoires de glycérine ont bien lubrifié l’entrée et je n’ai aucun mal à introduire mon majeur dans le rectum. L’intérieur est moelleux et je sens quelque chose de dur dans le colon, probablement des crottes de constipation. J’introduis maintenant la canule, puis j’ouvre le robinet. L’eau pénètre lentement mais régulièrement. Il faut environ quinze minutes pour que le bock se vide.

— Comment te sens-tu maintenant ?
— Très bien, j’ai les intestins qui gargouillent mais toujours pas envie de chier.
— Alors ! … On continue ?
— S’il le faut !

Je ferme le robinet, retire délicatement ...