Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : le plaisir d’avoir un mari bisexuel.
Datte: 09/04/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... lui enfoncer ton sexe jusqu'à la garde?
• Ne crains rien, Olga. Regarde comme son trou s'ouvre bien. Je vais niquer jusqu'à l'os ton mari et devant toi, comme tu en rêvais.
• Oh, oui, vas-y maintenant, sodomise-le !
• Ca y est, cette fois, je suis à fond ! J’adore, il est bien serré !
• Oui, vas-y, salaud, tu me remplis bien !
• Oh, c’est magnifique ! Vas-y, baise-le !
DEFONCE
Sous mes encouragements, Mohamed commence à le tringler, en poussant de plus en plus loin et le cul de Philippe répond parfaitement en s'élargissant souplement. Philippe n’a plus mal. S’il gémit toujours, cette fois c’est de plaisir.
J’en rêvais et cela se fait enfin : Philippe se fait défoncer devant moi. Pour ma part, je tente de calmer mon excitation, en branlant vigoureusement mon clitoris. Comme j’aurais aimé être à la place de Philippe. Je suis excitée…et jalouse !
• Regarde-le, ton mari... Une vraie femelle !
Excitée à mort par le spectacle torride, je remonte sur mes seins, les prends maintenant à pleine main pour bien les caresser. Je mouille deux doigts pour passer sur les tétons. Ils grossissent encore un peu. Cette fois c’est la bonne, je remets mon clitoris en route pour jouir. J’ai les yeux fermés, comme j’aimerais avoir dans mon vagin la bite qui défonce mon mari. Je jouis intensément une première fois.
Mohamed tient Philippe à la taille et va de plus en plus vite dans son ventre. Ses couilles lourdes tapent contre celles de mon chéri.
• Je vais bien ...
... te niquer...
• Oh oui ! Mets-la bien au fond ! Regarde Olga, c’est ce que tu voulais, je m’offre à ses coups de queue... Tu vois, il a toute la longueur en moi... Et j’aime ça...
Philippe écarte ses fesses pour que je puisse mieux voir la bite coulisser le long de sa rondelle dilatée. Il va à la rencontre des coups de reins de son amant pour que la bite aille le plus loin possible.
Oh comme cela m’avait manqué de voir Philippe se faire sodomiser devant moi en gémissant de plaisir ! Le pieu de l'Arabe tape le fond de son ventre, lui arrachant à chaque fois des petits cris de plaisir. Je ne perds rien du spectacle que les deux amants m’offrent. C’est beau, c’est torride.
Mon premier orgasme ne m’a pas calmé. Je me doigte à nouveau pour me soulager. Ce n’est pas la bonne position, je me tourne pour avoir le haut du corps bloqué par le divan, je passe les mains sur mes fesses, mets la droite entre mes globes pour arriver à mon petit trou où je commence à pénétrer, pas beaucoup, une seule phalange. Pour l’instant je m’en contente, je ne suis pas pressée.
Mon autre main est à nouveau sur mon clitoris. J’y mets trois doigts qui vont et viennent sur cet endroit où j’aime tant me caresser. Là, cette fois je pousse jusqu’au bout, je jouis à nouveau.
Terriblement excitée, j’alterne entre les mots d’amour pour Philippe, puis des paroles plus crues, des injures, parce que, au niveau d’excitation où il était, il voulait que je le traite ainsi. Je le sais d’instonct, parce ...