1. Alice au pays de la soumission (6)


    Datte: 08/04/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... petite dizaine de curieux, c’est près d’une cinquantaine qui s’agglutine devant la vitrine. La tondeuse passe et repasse sur la tête d’Alice. Elle voit ses longs cheveux tomber sur le sol, sur ses cuisses ou sa poitrine. Son visage est rougi par la honte qu’elle a d’être ainsi donnée en spectacle. L’entrecuisse trempe de cette même honte qui l’envahit, noie son corps de bonheur.
    
    Quand Babette étale la mousse à raser, la populace a encore doublé. Alice découvre l’humiliation ultime. Paul, quant à lui, est ravi par le comportement de sa soumise qui prend une nouvelle leçon. La lame du rasoir fait son office, Alice peut voir dans le reflet de la vitre que son crâne est mis à nu. Babette semble même prendre beaucoup de plaisir à humilier cette salope qui lui vole la place qu’elle convoitait. Paul ne perd rien et rappelle à l’ordre Babette. Le crâne nu, on passe cet appareil bizarre sur toute la surface. L’appareil détruit, sans aucune douleur, les racines des cheveux d’Alice. Maintenant, la tête et le corps d’Alice ne verront plus aucun poil pousser. Le temps de prendre une douche, de laisser les petits branleurs s’en aller. Alice est prête à affronter ces inconnus qui vont la regarder comme une curiosité. En laisse, les mains menottées sur son ventre, Alice suit son Maître.
    
    Il profite de la gêne palpable d’Alice pour l’asseoir sur un banc et de lui ordonner de se masturber. Alice rougit encore plus en fixant son Maître. Il lui sourit.
    
    — Cela fait toujours partie de ton ...
    ... éducation, ma petite salope.
    
    — Que Monsieur se rassure, je ne vais pas reculer.
    
    — J’y compte bien. Allez, on y va et pose bien ton pied sur le rebord du banc.
    
    — Monsieur, cela me gêne beaucoup !
    
    — Pas de discussion, exécution !
    
    La voix a changé, Paul n’a plus sa douce voix, mais celle du Maître autoritaire. Derrière sa vitrine, Babette ne manque rien du spectacle qu’offre Alice au client du centre et elle en rage de ne pas être à la place de cette fille. Seulement, cela ne dure pas, déjà des agents de la sécurité du centre s’approchent d’un peu partout. Paul donne le signal du départ, il connaît ce centre commercial comme sa poche, cela lui est facile de semer les gardes.
    
    Dans la cage, Alice est en boule. Au volant, Paul grimpe déjà la rampe qui le mène vers la sortie. Soudain, il ordonne sèchement à Alice de se coucher bien au fond de la cage. Il vient de voir des véhicules de la police locale qui les recherchent très probablement. Une fois dans la ville, il demande à Alice de se relever et de se tenir fièrement droite, assise comme une chienne. Pour parfaire l’illusion, Alice parvient à passer la laisse à travers les barreaux et à l’accrocher à une suspension. Elle garde son regard sur l’arrière, ne tournant plus la tête pour voir ce qui se passe autour d’elle. Bien que menottée, Alice parvient, avec l’habitude et son savoir-faire, à retirer sa robe entièrement. Quand Paul voit la robe atterrir sur la banquette arrière, c’est plus fort que lui :
    
    — Bravo ...
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