Le Village en folie (15)
Datte: 08/04/2021,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: simson3, Source: Xstory
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« Tu vas probablement te dire que j’ai pensé et agi comme une véritable salope : je trouvais le mâle de plus en plus beau ! Sans pouvoir dire pourquoi, il m’attirait de plus en plus ! Peut-être parce que je voyais en lui un superbe reproducteur, je désirais de plus en plus me faire dominer par cette bête débordante d’énergie et de caractère ! Une petite voix intérieure me disait encore ‘Non, Sophie, ne va pas vers lui, c’est un animal !’ mais la tentation devenait trop forte jusqu’à devenir impérieuse. Un instinct bestial s’était installé en moi et je DEVAIS aller vers ce mâle qui me désirait, j’en étais sûre.
« Je me suis alors levée et l’ai appelé. Comme j’étais debout, il a agrippé ma petite culotte qui était complètement mouillée, la tirant vers le bas sous ma jupe pendant que je détachais mon ceinturon. Le mâle couinait sans arrêt pendant ce temps en effectuant des mouvements de bassin comme pour faire une copulation. Ne portant plus que mon chemisier ouvert, je me suis alors installée, les fesses sur le bord de ma chaise, les jambes ouvertes, les pieds par terre, en m’appuyant le dos au fond du siège. Comme un animal fou, le chien s’est rué sur mon sexe qu’il s’est alors mis à chatouiller avec sa grosse langue, passant et repassant sur mes lèvres et mon clito. De plus en plus excitée, j’ai remonté et déposé mes deux pieds légèrement écartés sur le bord du siège, pliant mes genoux, et je lui ai présenté mon deuxième orifice. C’est en me donnant des coups de ...
... pattes avant sur les fesses et l’arrière des cuisses qu’il me balaya alors frénétiquement l’anus de sa langue.
« Je désirais de plus en plus me faire prendre par l’animal. J’étais complètement obnubilée par sa présence et ses stimulations. Je voulais qu’il me domine complètement. C’était pour moi un honneur à lui faire car je constatais qu’il m’avait choisie comme femelle. Je me suis donc laissé descendre de ma chaise et, me retournant dos à lui, les genoux par terre, je pris appui sur le siège devant moi en lui présentant ce qu’il attendait de ma part : mon sexe et mes fesses. Je ne voyais plus l’animal qui était maintenant dans mon dos, mais je devinais parfaitement ses mouvements. Il fourra de nouveau son museau entre mes fesses ouvertes et reprit ses mouvements de léchage sur mes lèvres et mon anus. Ce faisant, il m’appliquait, tout en continuant de couiner, des coups de pattes sales dans le dos. Il me tapait successivement avec la gauche, puis la droite. Je l’entendais haleter de plus en plus fort près de moi. J’entendais ses griffes arrière glisser sur le plancher de bois comme il se balançait sans arrêt le bassin, sur le point d’entrer en coït avec moi.
« La bête me sentait mouiller de plus en plus, mon sexe dégoulinant sur mes cuisses. J’avais si chaud, maintenant, que j’avais retiré mon chemisier, exposant ma nudité complète à l’animal. C’est alors que je le sentis monter sur mon dos. Il s’y prit à trois reprises pour réussir à rester sur moi. Tout mon corps lui ...