1. Contretemps


    Datte: 07/04/2021, Catégories: fh, inconnu, hotel, voyage, massage, Oral pénétratio, hdanus, occasion, Auteur: Raphael rêve, Source: Revebebe

    ... champ et de la baiser sans plus attendre. La frustration, si délicieuse au début de l’exercice, devenait à présent intenable. Elle le savait. Elle s’amusait de me voir dans cet état de tension…
    
    — Mon massage est un échec, dit-elle en avançant à quatre pattes au-dessus de mes jambes. Je vois bien que je ne parviens qu’à vous tendre un peu plus. Elle souriait en me susurrant ces mots : je crois qu’il va falloir que je me fasse pardonner de vous avoir mis dans un tel état.
    
    Elle finit à peine sa phrase que sa bouche se posa délicatement sur mon sexe tandis que sa main prenait doucement mes couilles. Je crus un instant que j’allais jouir sur le coup et je ne résistai qu’au prix d’un difficile effort. Sa langue lécha délicatement mon sexe, juste à la base du gland, tandis que son autre main allait et venait le long de ma queue. Je n’en pouvais plus. Tout mon corps était en feu. Je ressentais l’excitation dans chaque membre, chaque parcelle.
    
    C’est le moment qu’elle choisit pour prendre mon sexe dans sa bouche chaude. La douceur de ses lèvres, de sa langue contrasta avec la pression que sa main imprimait à la base de ma queue. Elle effectua des mouvements lents mais très appuyés de sorte que je sentais la jouissance venir. Je ne voulus pas jouir tout de suite. Je sentis que j’allais cette fois-ci éjaculer violemment et je voulais, avant, baiser cette créature de rêve.
    
    Je m’arrachai à ses mains et la plaquai sur le lit, me plaçant entre ses cuisses, mon sexe contre son ...
    ... vagin, tenant ses poignets. Elle me provoqua de son regard mutin, un sourire délicieusement coquin sur les lèvres. Son bassin vint à la rencontre de mon sexe, se colla contre moi, caressa ma queue.
    
    — J’ai la chatte brûlante, Hugo. Elle crève d’envie de se faire défoncer par ta queue et comme j’ai l’impression que ce désir est partagé, n’hésite pas. Baise-moi !
    
    La vulgarité du langage de cette femme qui jusqu’ici n’avait été que délicatesse libéra définitivement la bête qu’elle venait de frustrer pendant de trop longues minutes. Je saisis Marion, lui ôtais son string et sans aucune finesse, la pénétrais d’un coup. Elle émit un râle de plaisir, enserra mes jambes avec les siennes, posa ses mains sur mes fesses et m’attira au plus profond de son sexe. J’entamai immédiatement un va-et-vient profond et déchaîné. Je ne me contrôlai plus et elle apprécia manifestement d’être prise ainsi. Je commençai à penser qu’elle avait poussé sa propre frustration aussi loin que la mienne, tant elle sembla satisfaite d’être ainsi traitée. Elle m’attrapa la nuque et me glissa à l’oreille :
    
    — Baise-moi, cochon. Baise ma petite chatte, défonce-là. Je vois bien que tu fantasmes dessus depuis que je suis entrée dans cette chambre. Alors vas-y vide tes couilles ! Elle me fait du bien, ta queue ! Baise-moi comme une chienne.
    
    À ces mots, n’y tenant plus, je la plaçai à quatre pattes sur le lit. Je pris ma queue entre mes doigts, la plaçai à l’entrée de sa chatte et m’enfonçai sans aucune autre ...