J'ai eu du changement
Datte: 05/04/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
couplus,
rasage,
pénétratio,
Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe
... si tu veux bien me faire confiance, dimanche matin je me transforme en coiffeur pour dames, et je te fais une coupe courte, aux ciseaux, sans douleur et sans sortir de notre intimité.
C’est ainsi que le dimanche suivant, après le petit-déjeuner, il me fit un clin d’œil avec à la main son grand peigne métallique et des ciseaux de coiffeur tout neufs.
Il m’installe sur notre lit, couchée sur un drap de bain, jambes pendantes bien écartées, et s’agenouille devant mon sexe, et le voilà parti à tailler hardiment!
Mesdames, si vous ne connaissez pas, essayez-le plus vite possible, je vous en conjure! C’est délicieux, votre compagnon s’occupe de vous, de vous embellir (à son idée bien sûr), et de le voir ainsi concentré sur ce travail délicat me fait fondre complètement au propre comme au figuré. De le sentir s’occuper de ma fourrure intime est si nouveau que j’en mouille doucement.
Après un long moment, il saisit un grand miroir à main et me dit:
— Ça ira comme cela, Madame?
— C’est parfait, Monsieur, merci.
— Bien! Si Madame veut bien se retourner…
Là j’ai peine à comprendre; je me redresse, interrogative, et il me fait un signe facile à interpréter: il veut que je me place à quatre pattes et que je lui présente mon postérieur!
— Ben oui, figures-toi que tu as aussi du poil entre les fesses, même si tu n’es jamais allée voir par toi-même!
En ronchonnant un peu, je m’exécute; il écarte mes fesses de ses deux mains, puis:
— Bah non, finalement, tu n’en ...
... as pas autant que je croyais…
— Avec qui compares-tu, si je peux me permettre?
Il éclate de rire, puis me dit:
— Tu vois, si j’étais une esthéticienne, je t’enlèverais à la pince ces poils, là…
Et ce disant il promène son peigne autour de mon petit trou! J’en ai soudain un grand frisson et je m’échappe en poussant un hurlement : "NOOOOON !!!…"
— Mais non, mon cœur, je ne suis pas un tortionnaire, reviens là!
Je me remets docilement en position, il écarte à nouveau mes fesses et me met un grand coup de langue sur l’anus!
Je pousse un cri, et m’aplatis sur le lit en riant comme une folle. Il claque mon derrière et ordonne:
— Reviens en position!
Toujours en riant mais frissonnante, je me repositionne et il recommence, dardant cette fois le bout de sa langue sur mon petit trou, ce qui est une caresse sublime et troublante à l’excès.
— Arrête chéri, ce n’est pas propre…
— Mais si ma chérie, tu es une femme très soignée, ça n’est pas sale du tout…
— Tout de même, ça me gêne…
— Tu n’aimes pas?
— Si, c’est très bon, mais…
Je m’aperçois qu’il m’a piégée encore une fois. Maintenant, chaque fois qu’il lui en viendra la fantaisie, il faudra que je lui exhibe cet endroit si secret, si intime, pour qu’il m’y fasse je ne sais quoi d’inavouable, dont ma maman ne m’a jamais parlé.
Je ne vous raconterai pas comment nous avons poursuivi, ce dimanche-là. Il se doutait, bien sûr, qu’une certaine humidité régnait dans ma vulve, il m’a retournée sur le dos, mis ...