1. Le refuge


    Datte: 04/04/2021, Catégories: hh, hplusag, amour, Oral hdanus, hsodo, init, tutu, Gay Auteur: Wanderer, Source: Revebebe

    ... l’autre, puisque son corps est semblable au nôtre…
    
    Nous redoublons d’ardeur, nos bouches pleines de l’érection de l’autre : nous nous aimons toutes bites dehors, dans un « 69 » où se libère toute la violence de notre désir… Ainsi doivent s’aimer les hommes bien épris…
    
    La chaleur de cet échange exacerbe chez chacun le désir du corps de l’autre : je lèche tes bourses velues, je mordille tes couilles, et à chaque nouvelle caresse répond, identique, la tienne…
    
    Mon désir de toi se fait presque furieux et mon visage s’aventure plus avant, mes lèvres se pressent contre ton périnée, qu’elles baisent avec passion… Tu te recroquevilles sur toi pour faciliter mes caresses… j’en fais de même… Mes mains, passant sous tes cuisses, écartent tes fesses… Ma langue, fourrageant dans ta fourrure blonde, trouve ton anus et le lèche, le presse, essaie de s’y enfoncer… Et toi aussi, toi qui ne m’avais jamais fait cela, tu me lèches maintenant l’anus et y dardes ta langue, faisant se hérisser mes fesses de chair de poule… Nous nous bouffons le cul comme deux forcenés, avec une avidité animale, grognant presque de plaisir…
    
    Je m’interromps soudain, reprenant mon souffle… La caresse que tu viens de me rendre a réveillé en moi une autre envie… souvent ressentie mais jamais exprimée… Me relevant, j’approche ma bouche de ton oreille et, dans un souffle, ose ces mots :
    
    — Encule-moi…
    
    Tu me regardes un peu étonné, et m’interroges :
    
    — Tu veux que je te la mette ?
    
    Dans ce terme, moins ...
    ... cru que celui que je viens d’employer, je sens un peu de la retenue que tu as toujours gardée à mon égard dans nos rapports amoureux – au moins jusqu’à ce jour – en raison sans doute de notre différence d’âge, mais chez moi, l’envie soudaine et violente de ce que je ne t’avais jamais demandé et que j’attends maintenant de toi, libère des mots dont je ne me serais jamais cru capable et que, d’une voix basse, presque suppliante, je t’adresse :
    
    — Je veux que tu m’encules… que tu me mettes ta bite dans le cul…
    
    Tu me regardes avec tendresse, comme si tu attendais cet instant depuis longtemps, avec pourtant comme une hésitation :
    
    — Tu sais, pour une première fois il faudrait… je n’ai pas emporté ce qu’il faut…
    
    Bien sûr, mon amour, pour une promenade d’automne, il n’était pas question de batifoler en plein air, et nous n’avions pas prévu cette nuit au refuge, mais les souvenirs de l’été dernier viennent à mon secours : tendant la main vers mon sac à dos, j’en ouvre une poche et en sors un tube de crème qui y était resté, celle dont je me protégeais les lèvres contre les brûlures du soleil. Tu te marres lorsque je t’explique à quoi elle servait : après tout, elle conviendra aussi bien pour l’autre bout !
    
    Instinctivement, je renonce à te recevoir de face, position trop acrobatique pour mon âge (!), et préfère me mettre à quatre pattes, te tournant le dos… C’est la première fois que je suis dans cette position devant toi, m’offrant pour que tu me pénètres… Mon cœur bat ...
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