1. Les relations pyramidales, c’est dépassé [2]


    Datte: 04/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Wizks, Source: Hds

    ... par sa mouille. Elle n’en pouvait plus d’attendre, c’est elle qui s’est empalée, d’un mouvement du bassin. Une fois complètement en elle je l’ai pilonnée aussi vite et fort que je pouvais. Je l’ai retournée pour la prendre en levrette et claquer son joli cul à le faire rougir. Alors qu’elle était prise de tremblements au moment de l’orgasme, je me suis fini sur ses fesses et son dos. Une bonne baise. Elle m’a dit vouloir se doucher, je lui ai dit que j’allais rentrer chez moi. Dans la voiture j’avais encore du mal à réaliser…
    
    Les jours ont passés sans qu’on se croise, puis finalement on est tombé nez à nez, un matin, à l’accueil administratif de notre boîte. Elle portait un haut avec les épaules nues, vert et blanc, et une jupe un peu trop stricte. Je craignais une gêne, mais finalement rien de tout ça, on s’est fait la bise comme d’habitude, et on a papoté 5 minutes. Je détaillais discrètement son haut pour essayer de voir si elle portait quelque chose dessous, et quoi. Mais je n’ai pas été aussi discret que je le pensais. Elle m’a repris d’un air de professeure des écoles qui surprend un élève en pleine triche, mais avec un petit sourire en coin. Je lui ai dit que j’étais simplement curieux. On était à côté des bureaux, même si les portes étaient fermées on ne pouvait pas trop s’étendre sur le sujet. Elle m’a juste répondu :
    
    - Je vois ça, surtout qu’en plus celui-là te plairait je pense.
    
    Elle parlait de son soutif. Je suis resté un peu estomaqué, alors qu’elle ...
    ... était tout sourire. Elle me fit un clin d’œil et repartit pour une réunion. Au moment où elle s’est retournée j’ai poussé ma chance en lui assignant une petite claque sur une fesse, et en disant :
    
    - Va falloir que je voie ça !
    
    C’était risqué, elle pouvait tout aussi bien mal, voire même très mal, le prendre. Mais elle s’est retournée toujours souriante et m’a gratifié d’un « on verra… ». Puis elle est partie.
    
    La matinée se poursuit, et je sais que Johanna doit passer par mon bureau (que je partage avec 4 collègues) avant de repartir à son bureau (qui est de l’autre côté de l’entreprise). Dans cette pièce nous sommes positionnés 2 par 2, face à face, et un dernier à l’entrée de la pièce, qui me fait dos. Mon collègue qui est habituellement à ma droite n’est pas là cette semaine. Quand Johanna vient enfin, elle discute avec mes collègues, puis elle vient s’assoir à côté de moi. Nos autres collègues ne voient que nos têtes. Elle m’expose la raison (ou le prétexte plutôt) de sa venue. Elle est juste à côté de moi, les jambes croisées. Alors qu’on discute, elle me montre un papier qu’elle a imprimé, et discrètement, elle fait glisser le haut de son tshirt « épaules nues » jusqu’à découvrir son sein gauche couvert par un soutif en dentelle. Je la regarde bouche bée, et je sens l’excitation montée. Nos collègues ne peuvent pas voir, et sont occupés à travailler, mais quand même, quel culot ! Elle continue son speech pour ne rien laisser paraître, et commence à remonter son ...