1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°966)


    Datte: 04/04/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... demi-heure. Puis après, il alla chercher des dossiers et se mit à travailler à la même place dès que son repas fut débarrassé et la table nettoyée. J’utilisais toutes les techniques que je connaissais pour contrôler ma respiration, essayer de contenir les montées de plaisir qui venaient par vagues successives de plus en plus rapprochées. Mais alors que j’arrivai à lutter plus ou moins bien, il appuya sur sa télécommande et tout fut plus intense, les mouvements s’accéléraient, les rotations et les vibrations plus rapides… Et alors que cela faisait une heure que je tenais tant bien que mal, je ne pus retenir un violent orgasme foudroyant, qui dura de très longues minutes où je ne pouvais retenir des longs cris puissants de jouissance, même après que Wangdak eut stoppé et retirer les appareils, j’avais encore des spasmes jouissifs sur toute mon échine. Et quand il m’effleura du bout des doigts mes lèvres intimes, je jouis une seconde fois en hurlant de plaisir de nouveau tellement l’excitation de mon sexe gorgé et gonflé de sang était à son paroxysme. Je sentais ma cyprine couler avec abondance sur mes cuisses…
    
    - Ah je savais bien, la chienne, que même une soumise MDE devait avoir ses limites ! Je m’étais juré de te faire plier avant votre départ ! Ce sera donc quarante coups de fouet, et après on passe à l’entraînement. Enfin, ne te traumatise pas trop, avec le traitement que je t’ai infligé, je ne connais personne qui n’aurait pas joui ne serait-ce qu’une seule fois. ...
    ... Monsieur le Marquis a de quoi être vraiment fier de toi !
    
    Il me détacha, m’enleva le bandeau qui me couvrait toujours les yeux, ce qui m’éblouit quelques secondes, puis il prit ma laisse et me conduisit au donjon. Il attacha mes poignets avec des anneaux qui pendaient au bout de chaines fixées au plafond et les régla de manière à ce que j’ai les bras très écartés et étirés, et que mes pieds touchent à peine le sol.
    
    - Evidemment, je ne veux pas entendre le moindre son, à part le décompte des coups !
    
    Les coups tombèrent, sèchement, rapidement, au point qu’entre la douleur et la vitesse j’avais du mal à tenir le compte sans en sauter. Je serrais les dents, mais les coups étaient vraiment durs et douloureux ! Et sans l’éducation que j’avais reçue au Château, je n’aurai pas pu ne pas crier sous la morsure du fouet du tibétain… Il ne restait que peu de temps pour la séance d’entrainement. Mais était-ce parce que nous devions partir le lendemain, il fut plus sévère et intransigeant que les fois d’avant. Cette fois-ci, ce fut la badine que mon corps sentit régulièrement pour donner la cadence. Les deux heures passèrent rapidement, mais furent éreintantes ! Wangdak m’envoya prendre une douche, froide, tandis qu’il allait déjeuner, me recommandant d’aller laper ma gamelle dans la cuisine dès que j’aurai fini de me laver, et précisant qu’ensuite, il me sortait, en accord avec le Châtelain. Cela m’intrigua grandement, je me demandais ce qui allait m’attendre, mais je ne trainais pas ...
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