Souvenirs de Barcelone - Histoires de Sexe

Souvenirs de Barcelone

... mes fesses… J’étais trempée et ça en devenait indécent…

Soudain, je sentis quelqu’un saisir à pleines mains mes seins, et je rouvris les yeux. Un homme était penché sur moi. Mon patron m’intima l’ordre de ne rien dire et me demanda de me mettre à quatre pattes ce que je fis avec plaisir.

Pendant qu’il m’enfilait, de derrière, son sexe dans la chatte, l’inconnu s’approcha de mon visage, la verge dans la main. Je me sentis soumise et ça m’excita terriblement. J’ouvris grand la bouche et il me mit son gland au fond de la gorge.

Pendant que mon patron me labourait sans répit, je happais goulûment la queue de mon inconnu qui ne regrettait apparemment pas d’être venu nous rejoindre.

Il s’agrippa à mes cheveux et poussa des cris de plaisir qui me laissèrent entrevoir une extase. Très rapidement, je sentis sa queue se raidir et, sans m’en avertir, il emplit ma bouche de son nectar que je ne me suis pas privée d’avaler jusqu’à la dernière goutte.

Mon inconnu se rhabilla et s’en alla sans dire mot, me laissant seule avec mon patron dont le souffle haletant m’annonçait une éjaculation proche. Pour décupler mon plaisir, afin de jouir avec lui, je me mis à caresser mon clitoris. Quelques caresses et coups de reins plus tard, ce fut l’extase pendant qu’il déversait son sperme au fond de moi.

Une fois nos esprits retrouvés, nous nous sommes rhabillés pour aller mater ce que les autres faisaient car nous ne souhaitions pas en rester là ! Mon patron me prit le bras et ...

... m’emmena au sous-sol.

La salle était pleine et à l’entrée, une femme nous tendit deux loups et nous demanda de nous masquer.

Une fois masqués, nous nous dirigeâmes vers deux individus qui s’adonnaient à des ébats sexuels très excitants avec deux femmes nues attachées à un lit sous les regards pervers de clients qui n’avaient apparemment qu’une envie : les prendre l’une après l’autre !

Je regardai la scène avec délectation quand tout à coup, deux hommes masqués me prirent le bras et m’enlevèrent à mon patron. Ce dernier n’avait apparemment que faire de ce qui m’arrivait, trop occupé à préserver sa place dans la queue pour prendre à son tour les deux femmes attachées.

J’en ai pris mon parti, décidée à prendre mon pied avec ceux qui me tomberaient sous la main, sans me poser de questions.

Mes deux ravisseurs m’emmenèrent dans une autre salle pleine de voyeurs. En un clin d’œil, je me suis retrouvée menottée au milieu de pervers masqués. Ils s’approchèrent de moi et m’enlevèrent mes habits un à un. Une fois complètement nue, mes deux ravisseurs sont venus me libérer et m’ont couchée sur un lit qui était au milieu de la pièce.

Ils m’y ont menottée, jambes et bras écartés, et voilà que je me retrouvai à la merci de mes tortionnaires et de leurs aficionados. Ne souhaitant pas perdre la face, je leur intimai l’ordre de me baiser.

Loin de se laisser impressionner par tant de provocation, ils se mirent en tenue d’Adam, leurs queues dressées comme des cornes de taureaux ...